LEXIQUE Définitions courantes des termes présents sur le site
Interdit d’ordre religieux ou rituel qui frappe une personne, un animal ou une chose considérés comme sacrés ou impurs et dont la transgression est censée entraîner un châtiment surnaturel. L’interdit de l’inceste est un tabou c'est-à-dire un interdit qui était déjà véhiculé dans les sociétés ancestrales. Lorsque ce tabou est transgressé et que des mariages entre des personnes ayant des liens de consanguinité sont perpétués, on voit apparaître très vite au décours des générations des aberrations chromosomiques chez les enfants conçus en dehors de la loi universelle, ce que les ancêtres nommés - châtiment -. Les tabous sont fondés sur les lois de la génétique que les groupes tribaux ne pouvaient connaître dans les temps reculés. ©psyvig
Aptitude à effectuer une tâche. celle-ci peut être spontanée ou être issue d'un apprentissage.
De - tantra - (livres). Ces textes volumineux présentent le développement extrême de l’hindouisme dans la voie des pratiques conduisant à l’expérience de l’enstase * (cf. infra) fusionnelle avec l’Absolu. Le tantrisme se fonde sur une conception selon laquelle le monde illusoire du multiple est né de la tension entre deux polarités de l’énergie divine primordiale : l’énergie féminine - shakti - et l’énergie masculine - shiva -. La mise en contact de ces deux énergies rétablit l’unité indifférenciée originelle. Le tantrisme propose un ensemble de techniques pour éveiller l’énergie - shakti - - appelée - kundalini - lorsqu’elle est considérée dans l’homme – et la conduire de la base de la colonne vertébrale jusqu’au sommet du crâne, où elle rencontre - shiva - avec laquelle elle s’unit dans une étreinte fusionnelle. ( in le glossaire de - 100 questions sur les nouvelles religiosités - du Père Joseph-Marie Verlinde). * Enstase. Le terme est de Mi
Le taoïsme (chinois: ??, pinyin: dàojiào, - enseignement de la voie -) est à la fois une philosophie et une religion chinoise, regroupant vingt millions de disciples. Plongeant ses racines dans la culture ancienne, ce courant se fonde sur des textes, dont le Tao Tö King de Lao Tseu, et s’exprime par des pratiques, qui influencèrent tout l’Extrême-Orient. Il apporte entre autres :
* une mystique quiétiste, reprise par le bouddhisme Chan (ancêtre du zen japonais) :
* une éthique libertaire qui inspira notamment la littérature :
* un sens des équilibres yin yang poursuivi par la médecine chinoise et le développement personnel :
* un naturalisme visible dans la calligraphie et l’art.
Ces influences, et d’autres, encouragent à comprendre ce qu’a pu être cet enseignement dans ses époques les plus florissantes. ©wikipedia
es psychothérapies cognitivo-comportementales (ou thérapies cognitivo-comportementales, TCC) regroupent un ensemble de traitements des troubles psychiques (phobies, addictions, psychoses, dépressions, troubles anxieux…) qui partagent une approche selon laquelle la thérapeutique doit être basée sur les connaissances issues de la psychologie scientifique et obéir à des protocoles relativement standardisés dont la validité est dite basée sur la preuve. Les TCC ont pour particularité de s'attaquer aux difficultés du patient dans - l'ici et maintenant - par des exercices pratiques centrés sur les symptômes observables au travers du comportement et par l'accompagnement par le thérapeute qui vise à intervenir sur les processus mentaux dits aussi processus cognitifs, conscients ou non, considérés comme à l'origine des émotions et de leurs désordres. La standardisation de la pratique des TCC a contribué à la reconnaissance de leur efficacité par leur caractère reproductible qui est une des
fr.wikipedia.org/wiki/Psychoth%C3%A9rapie_cognitivo-comportementale
Le souffle c'est la vie. Lorsque nous respirons de la bonne manière, c'est-à-dire en harmonie avec notre être profond, nous inspirons et expirons l'énergie vitale qui circule dans le corps de chaque être vivant.. C'est elle qui équilibre la vie intérieure et c'est pour cette raison qu'elle doit circuler librement. Chaque fois qu'elle est bloquée par une mauvaise respiration, elle perd sa fonction régulatrice et laisse libre cours à la maladie et aux dérèglements.©medecines-naturelles.com - Lire l'article sur le site http://www.stressanxiete.fr/15/techniques-de-respiration-pour-reduire-son-stress.html
psycho-ressources.com/bibli/respirer-cest-vivre.html
stressanxiete.fr/15/techniques-de-respiration-pour-reduire-son-stress.html
Transmission de pensée
Peut-on communiquer sans paroles, gestes ni mimiques et à distance ? La parapsychologie l’affirme, les sciences objectives en sont beaucoup moins convaincues. Quelques personnes ont la certitude d'en faire ponctuellement l'expérience, certaines même s'y entraînent par des exercices dont les résultats sont trop aléatoires pour être fiables. En revanche, ce type de communication est souvent observé chez les jumeaux. On attribue parfois à la télépathie les capacités - divinatoires - de certains médiums, qui - lisent - dans la pensée de leurs clients. Toutes les possibilités du cerveau étant loin d' être explorées, la question demeure en chantier. ©psychologies.com
Différente de l'amour et du désir, se rapprochant de l'affection, la tendresse est une forme d'attachement qui lie deux êtres sans qu'il existe entre eux d'élément de contrainte, telle que la passion pourrait en imposer. Elle transparait dans les gestes, le toucher, la douceur, la délicatesse, l'attention portée aux besoins d'autrui, le regard, la voix, et constitue une forme de respect de l'autre : elle se manifeste en effet par des démonstrations d'affection, telle que le câlin ou le baiser, par exemple. La tendresse permet de créer une relation d'affection, qui peut aller de la relation d'amitié à la relation amoureuse. Il est à noter qu'elle n'implique pourtant pas nécessairement de désir sensuel, attendu qu'elle peut être l'élément clé d'une relation familiale. Lire l'article de Wikipedia©
Tension Etat de préparation à l'action physique ou psychique. C'est un aspect de la pulsion. Etat affectif d'un sujet soumis à l'influence de deux forces opposées et égales. La tension se résoudra par un changement entraînant l'organisme à rechercher un autre état d'équilibre. ©psychiatriinfirmiere.free
psychiatriinfirmiere.free.fr/infirmiere/formation/psychologie/lexique/adulte.htm
Les tests d'aptitude - Le terme -aptitude- désigne le support naturel de la capacité, laquelle dépend du développement naturel, de l'exercice, de l'éducation etc. Les aptitudes humaines sont variées mais on peut établir une différence entre les aptitudes d'ordre intellectuel (mémoire etc.) et les aptitudes d'ordre concret (dextérité manuelle, adresse, habileté etc.).©Dr Lyonel Rossant, Dr Jacqueline Rossant-Lumbroso
Les tests d'instruction - Ils permettent d'évaluer le niveau d'instruction atteint par un enfant d'âge scolaire en lecture, orthographe, arithmétique etc.
Le Rorschach : un célèbre test projectif - Ce test relativement connu dure au moins une heure et est effectué par un psychologue. Il est constitué de dix planches, numérotées et toujours présentées dans le même ordre. Chacune d'elles vous montre une tache d'encre, en couleur ou en noir et blanc. On va vous demander de dire tout ce que vous voyez ou imaginez. Vous devez d'abord uniquement dire ce que ces planches vous évoquent, sans commenter. Ensuite, le psychologue reprend chacune des planches et vous demande d'expliquer vos réponses.©carnetpsy
Le test de Rosenzweig - Il est aussi appelé - test de résistance à la frustration -. Il a été mis au point en 1948 par Saul Rosenzweig, un psychologue américain. Sa forme se rapproche de celle du TAT mais cette fois-ci, ce sont des bandes dessinées que vous devrez commenter. Elles sont au nombre de vingt-quatre et mettent en scène une situation de discorde. Au moins deux personnages figurent sur chaque vignette. Est associée à l’un des personnages une bulle, dans laquelle figure son discours. La bulle de l’autre personnage comporte seulement l’indication - votre réponse -. En clair, vous vous identifiez nécessairement au personnage et devez écrire dans sa bulle la réponse que vous auriez dans une situation semblable à celle de la vignette. Par exemple, la première vignette met en scène un conducteur qui s’excuse de vous avoir éclaboussé. A vous d’indiquer quelle serait votre réponse. En moyenne, vous disposerez d’une trentaine de minutes pour compléter les vingt-quatre images.
Test psychologique - Lors de l'entretien d'embauche, le recruteur peut être amené à évaluer vos traits de caractères les plus forts. C'est notamment le cas des profils commerciaux, de la finance... Le test de Sigmund ou test du potentiel - Le Sigmund, régulièrement employé pour le recrutement des commerciaux, cherche à évaluer trente-huit traits de personnalité répartis selon trois domaines : la vie professionnelle, la vie sociale et relationnelle et la dimension psychologique. Les critères d'analyse sont adaptés au profil requis pour le poste proposé. Ce test se compose de 450 questions. C'est un ordinateur qui vous les posera dans un ordre aléatoire. Vous devez choisir parmi les réponses celle qui vous correspond le mieux. Attention, ce test est limité en durée : il faut donc jouer avec votre spontanéité et votre rapidité. A la fin le recruteur vous demandera de vous auto-évaluer sur certains des 38 traits de personnalité. Particularités du test : Un -coefficient de cohérence- est
Test psychologique - Lors de l'entretien d'embauche, le recruteur peut être amené à évaluer vos traits de caractères les plus forts. C'est notamment le cas des profils commerciaux, de la finance... Le test de Sigmund ou test du potentiel - Le Sigmund, régulièrement employé pour le recrutement des commerciaux, cherche à évaluer trente-huit traits de personnalité répartis selon trois domaines : la vie professionnelle, la vie sociale et relationnelle et la dimension psychologique. Les critères d'analyse sont adaptés au profil requis pour le poste proposé. Ce test se compose de 450 questions. C'est un ordinateur qui vous les posera dans un ordre aléatoire. Vous devez choisir parmi les réponses celle qui vous correspond le mieux. Attention, ce test est limité en durée : il faut donc jouer avec votre spontanéité et votre rapidité. A la fin le recruteur vous demandera de vous auto-évaluer sur certains des 38 traits de personnalité. Particularités du test : Un -coefficient de cohérence- est
Le test EAE - EAE signifie échelle d’auto estimation. Cette évaluation aura toujours lieu avant l’entretien avec le recruteur et lui sert de base pour mener la conversation que vous aurez ensemble ensuite. Il est présenté traditionnellement sur papier. Le recto de la feuille indique la marche à suivre et sur le verso figure le test à proprement parler. Il se constitue de 81 paires d’adjectifs. Pour chacune vous choisirez celui qui vous correspond le mieux ou prédominant chez vous entre les deux proposés. L’aspect déroutant du procédé réside dans le fait que les deux adjectifs semblent parfois recouvrir des significations proches. Pour certaines questions, cela vous paraîtra aussi difficile que de vous définir comme étant dynamique ou énergique ! Pour le candidat, ce test présente un côté sympathique puisqu’il ne donne pas l’impression d’être piégé ou jugé selon des critères inconnus, voire flous. Par ailleurs, son objectif avoué est de valoriser vos qualités et d’en
Le MBTI : un test très complet venu des Etats-Unis Inspiré directement de la théorie des types psychologiques de Carl Gustav Jung, il a été élaboré et développé aux Etats-Unis durant 40 années de recherche par Katharine Briggs et Isabel Myers. Ce test est particulièrement employé dans la finance, la banque et l'ingénierie. Le MBTI (Myers-Briggs Type Indicator) est l'indicateur le plus utilisé au monde pour comprendre les différences de personnalité. Son principe fondamental est le suivant : les variations de comportement que l'on observe entre les individus ne sont pas le résultat du hasard mais la conséquence de préférences spontanées concernant quatre dimensions principales dont chacune est caractérisée par deux pôles opposés. La combinaison des préférences sur ces 4 dimensions conduit à définir 16 -types-. Il n'y a pas de bon ou de mauvais type : chacun a ses caractéristiques propres. Déterminez votre type psychologique MBTI©carnetpsy
Les tests projectifs, d'aptitude ou d'instructions - Enfin, trois différents types de tests permettent d'évaluer l'adaptabilité sociale, l'aptitude ou le niveau d'instruction. - Les tests projectifs pour les enfants - Les labyrinthes de Porteus mesurent l'intelligence sous son aspect d'adaptabilité sociale à partir de 3 ans : Les mosaïques de Lowenfeld étudient la structure de la personnalité à partir de 5 ans : Le test de Rozenzweig étudie, chez les enfants de 4 à 13 ans, les réactions devant les situations de frustration (manque important) : Le test dit -Patte noire- de Corman étudie la personnalité dans son dynamisme profond, à partir de 5 ans : Le test de Rorschach adapté pour enfants de plus de 5 ans, etc. - Les tests d'aptitude - Le terme -aptitude- désigne le support naturel de la capacité, laquelle dépend du développement naturel, de l'exercice, de l'éducation, etc. Les aptitudes humaines sont variées mais on peut établir une différence entre les aptitudes d'ordre intellectuel
TAT signifie Test D’aperception Thématique. Il a été mis au point par un psychologue américain, Henry Murray, en 1943. Il est basé sur le principe de l’identification. Vous devez situer une vingtaine d’images dans un contexte et raconter une histoire autour de chaque dessin. Contrairement au test de Rorschach, les dessins sont figuratifs et donc plus explicites. L’un d'eux représente par exemple une femme jeune assise sur un canapé qui s’adresse à un homme plus âgé qu’elle en train de fumer la pipe. On attendra de vous que vous racontiez une histoire autour de cette situation. Bien que certaines planches mettent en place des situations peu - joyeuses - (un adolescent couché avec un revolver près de lui), l’interprétation du test se base sur le fait que les histoires que vous inventez sont en rapport avec votre moi profond. Privilégiez donc les fins heureuses et oubliez les histoires alambiquées et complètement invraisemblables. Certaines illustrations sont destinées à être com
aerocontact.com/ocv_entretien_recruteur/conseil_entretien_emploi.php?ID=169
C'est le contenu du délire. Les thèmes délirants sont variés mais peuvent être regroupés en grandes catégories : - Persécution : conviction délirante d’être victime de préjudices, d’agressions, de l’hostilité d’autrui. Le sujet persécuté pense être l’objet d’une machination ou d’une conspiration. L’origine de la persécution pour le patient peut être floue ou précise. Dans ce dernier cas, le patient a un persécuteur désigné, ce qui se voit en particulier dans le trouble paranoïaque. Inversement, dans le syndrome mélancolique, forme ultime de la dépression, les idées de persécution, quand elles existent restent vagues. - Revendication : ce thème est proche du précédent. Le délire repose sur la conviction d’un préjudice subi. Le patient est en règle générale, actif, il se livre à de nombreuses démarches administratives et souvent judiciaires. Plusieurs figures types ont été étudiées : l’inventeur méconnu qui revendique l’antériorité de ses découve
Les théories de l'attribution selon Kelley L'individu cherche à contrôler les événements. Pour cela, il note les différents indices qui lui permettront d'inférer les caractéristiques, les intentions, les qualités de l'individu en face ou de l'évènement qui a eu lieu. Cet ensemble d'inférences est désigné sous le terme - d'attribution causale -. Ce mécanisme se développe dès que - la situation ne serait pas claire, lorsque l'information serait insuffisante ou ambiguë - (Gineste, 1982). Il existe plusieurs théories de l'attribution causale. Cette recherche se base sur la théorie de la co-variation de Kelley, développée au cours du temps grâce aux apports et critiques de ses contemporains. Pour Kelley, les études sur les théories de l'attribution commencèrent avec les travaux de Heider en 1958. Celui ci joua un rôle central dans l'organisation et la définition des théories de l'attribution. Cette théorie explique comment les individus attribuent des explications causales à des é
oodoc.com/1587-psychologie-les-theories-de-l-attribution.php
psychologie-travail-rh.over-blog.com/pages/Les_theories_de_lattribution_selon_Kelley-4342078.html
Le dispositif psychanalytique de groupe a introduit de nouvelles compétences pour le traitement des -cas difficiles- : enfants très gravement perturbés, certaines pathologies antisociales de l'adolescence, souffrances de l'addiction et de séquelles traumatiques, patients adultes psychotiques. II a aussi contribué à rendre possibles l'expérience et la connaissance de la formation de processus psychiques inconscients inaccessibles autrement. L'objectif de cet ouvrage est d'analyser les principales propositions qui soutiennent la théorisation psychanalytique des petits groupes humains, en examinant les répercussions de ces propositions sur une théorie générale des processus psychiques inconscients, objet de la connaissance et de la pratique psychanalytiques. Que-sais-je? n°3458. Editions P.U.F (1999) ISBN: 2-13-049808-6 - ©René Kaes
Un thérapeute est une personne qui soigne un malade à l'aide d'une thérapie. Anciennement, le terme thérapeute pouvait désigner un médecin. Aujourd'hui, il est le plus souvent employé avec un préfixe : psychothérapeute, physiothérapeute, ergothérapeute, kinésithérapeute, etc.©Wikipedia
Les thérapies comportementales et cognitives ne visent pas à modifier en profondeur l’ensemble d’une personnalité, à travers une cure longue et contraignante. Elles ont pour but de modifier un comportement qui gâche la vie de la personne. Ces thérapies visent les comportements dont nous voudrions bien nous débarrasser mais qui se répètent malgré nous, échappant à notre volonté, ainsi qu’à toute démarche logique. Par exemple le rougissement en présence d’un interlocuteur, une angoisse dans les endroits clos, mais aussi le tabagisme, la boulimie, etc.. Et ceci avec la participation active du sujet. Ces thérapies jouent sur deux registres complémentaires : le comportement et la cognition, c’est à dire les processus de pensée. Les principes du traitement - Les thérapies comportementales et cognitivesOn considère que ces comportements que l’on souhaite éliminer ont été appris, (on peut tout aussi bien parler de conditionnement, au sens pavlovien) de façon défectueuse, à part
doctissimo.fr/html/psychologie/consulter/les_therapies/therapies_cognitives.htm
Les thérapies cognitivo-comportementales (TCC) se veulent une application de la psychologie scientifique à la thérapie des troubles psychiques. Selon cette approche, la thérapeutique doit s'appuyer sur une méthode expérimentale et contraignante, parce que tendant à être standardisée, afin de comprendre et de traiter efficacement des troubles psychiques (phobies, addictions, psychoses, dépressions, troubles anxieux…). Ces thérapies ont pour particularité de s'attaquer au-x problème-s du ou de la patient-e dans -l'ici et maintenant- par des exercices pratiques centrés sur les symptômes extérieurs observables (thérapie comportementale) ainsi que les processus mentaux (cognitions) les accompagnant(thérapie cognitive). Les cognitions conscientes ou pré-conscientes considérées comme à l'origine des émotions sont privilégiées. Il est courant d'affirmer, à grands traits, qu'elle s'oppose à l'approche psychanalytique, cette dernière se focalisant sur des processus internes inconscients en
Crises conjugales répétées, désir sexuel en berne... Comment réapprendre à communiquer au sein d'un couple ? Suivre une thérapie à deux peut vous permettre de dépasser cette incompréhension subite et de renouer le dialogue. Faisons le tour en 10 points. 1. Qu'est-ce qu'une thérapie de couple ? C'est une séance encadrée par un thérapeute destinée à conseiller, guider un couple dans ses problèmes conjugaux. 2. Comment se déroulent les séances ? Au cours des séances, le thérapeute essaie de trouver des explications dans le passé conjugal des parents des deux patients pour voir s'ils ne reproduisent pas dans leur vie actuelle des relations difficiles de leur passé. 3. Combien de séances doit-on suivre ? Parfois quelques séances suffisent à relancer le couple mais la thérapie peut également se prolonger sur plusieurs mois. 4. Est-ce que ce genre de thérapie est efficace ? Elle permet de modifier la perception que vous avez de votre couple et vous apporte un regard nouveau, celui de
plurielles.fr/amours/fiche-pratique/la-therapie-de-couple-en-10-questions-4521745-402.html
Si la psychanalyse s'est construite en grande partie à partir de cures individuelles de patients névrosés, Freud ( Psychologie des masses et analyse du moi, G.W. 73) considère que la psychologie individuelle ne se trouve que - rarement en mesure de pouvoir faire abstraction des relations de cet individu avec d'autres individus.- Employant en anglais les termes -herd instinct, group mind- (instinct grégaire, mentalité groupale), il ajoute que - l'autre entre en ligne de compte très régulièrement comme modèle, comme objet, comme aide et comme adversaire, et de ce fait la psychologie individuelle est aussi, d'emblée, simultanément, psychologie sociale, en ce sens élargi mais tout à fait fondé.- Lire l'article sur le site http://www.spp.asso.fr/main/extensions/items/05_famille.htm
THÉRAPIE FAMILIALE (et théorie systémique) La notion de système a été empruntée aux théories cybernétiques, et particulièrement celles, dites -circulaires-, de la communication. Définition Il existe plusieurs sortes de thérapies familiales. On s'adressera toujours à la famille entière et le thérapeute agira sur l'ensemble des relations familiales. Pour ce qui est de la technique et des références, chaque thérapie aura sa spécificité. Il faut éviter que le patient soit perçu en -bouc émissaire-. L'objectif pourra être d'apprendre aux membres de la famille à communiquer. L'école de Palo Alto développe l'approche en tant que 'système', avec des notions mathématiques d'interactions. Pour obtenir un changement, il faut agir sur le -comment- du fonctionnement de chacun des membres, et non sur le -pourquoi-. Pour Virginia Satir, la maturation est un état dans lequel l'individu se prend en charge lui-même. Si on a des difficultés au niveau de la communication, c'est au niveau de l'esti
psychiatriinfirmiere.free.fr/infirmiere/formation/psychiatrie/adulte/therapie/systemique.htm
La thérapie par aversion ou thérapie aversive est une forme de traitement psychiatrique ou psychologique qui expose le patient à un stimulus tout en recevant une expérience désagréable[1]. Ce conditionnement a pour but de faire associer par le patient le stimulus avec des sensations déplaisantes, et donc d'arrêter un comportement donné.
Les thérapies par aversion peuvent prendre plusieurs formes, du plus relativement doux (réprimander un enfant pour une bêtise, ou placer des substances au goût désagréable sur les ongles pour décourager de ronger les ongles), à d'autres traitements, tels que donner du disulfirame à un alcoolique pour le décourager de boire, ou même l'application d'électrochocs.
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La thérapie primale est un processus de psychothérapie et une ébauche de théorie développés en 1967 par Arthur Janov, un psychologue américain de formation freudienne. Son fonctionnement et la théorie sur laquelle elle fonctionne sont explicités dans son livre Le Cri primal (1970).
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TCC - Les psychothérapies cognitivo-comportementales (ou thérapies cognitivo-comportementales, TCC) regroupent un ensemble de traitements des troubles psychiques (phobies, addictions, psychoses, dépressions, troubles anxieux…) qui partagent une approche selon laquelle la thérapeutique doit être basée sur les connaissances issues de la psychologie scientifique et obéir à des protocoles relativement standardisés dont la validité est dite basée sur la preuve. Les TCC ont pour particularité de s'attaquer aux difficultés du patient dans - l'ici et maintenant - par des exercices pratiques centrés sur les symptômes observables au travers du comportement et par l'accompagnement par le thérapeute qui vise à intervenir sur les processus mentaux dits aussi processus cognitifs, conscients ou non, considérés comme à l'origine des émotions et de leurs désordres. La standardisation de la pratique des TCC a contribué à la reconnaissance de leur efficacité par leur caractère reproductible qui est u
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Thérapies qui privilégient les techniques centrées sur le corps pour accéder aux souvenirs douloureux refoulés. Concernant le domaine psychologique (non médical), on peut distinguer deux grands courants : L’un favorise, comme technique d’investigation pour accéder à l’inconscient, la verbalisation (c’est le cas notamment de la psychanalyse et des thérapies qui s’en sont inspirées), l’autre propose le corps comme moyen d’exploration. Toutes visent le même but mais par des techniques différentes. Cependant, il faut préciser que leur champ d’application est parfois diffèrent. Elles s’appuient sur la théorie du - corps-mémoire -. Selon cette approche, le corps garde en mémoire la trace de son vécu, de ses expériences par ses tensions, sa forme et sa structure. Les sentiments, les émotions non exprimés au cours du développement de l’individu , se logent et s’impriment dans celui-ci, créant ainsi des tensions pouvant devenir chroniques. Ces tensions sont à l’origine d
La thermogenèse intervient quand la température du corps est inférieure au point de consigne (température aux alentours de 37°C). Cela entraine la libération dans le sang de catécholamines (adrénaline), qui vont entraîner une vasoconstriction au niveau de la peau . Le corps va chercher à produire de la chaleur par :
* Activité musculaire : volontaire ou frissons thermiques
* Le métabolisme : catécholamines, hormones thyroïdiennes
* Lipolyse du tissu adipeux brun (la graisse brune n'est présente que chez les nourrissons et disparaît progressivement avec l'âge sauf chez les animaux qui hibernent)
Lors de la thermogenèse, il y a vasoconstriction des vaisseaux, ce qui aide à maintenir la température centrale. Penser que l'alcool réchauffe est une croyance trop répandue, notamment chez les SDF. Effectivement, l'alcool provoque une vasodilatation des vaisseaux, soit une augmentation de la thermolyse, ce qui a pour effet de plonger le sujet en hypothermie. ©wikipedia
Un thymorégulateur ou normothymique est un médicament psychotrope qui a pour indication principale la stabilisation de l'humeur et la prévention des rechutes au cours du trouble bipolaire. Ces médicaments peuvent avoir également d'autres indications.
Les principaux thymorégulateurs possédant une autorisation de mise sur le marché en France dans cette indication sont :
* Sels de lithium
* Carbamazépine
* Acide valproïque
Dans d'autres pays, d'autres molécules ont reçu l'autorisation de mise sur le marché dans cette indication :
* lamotrigine aux États-Unis
©wikipedia
Tic, mouvement compulsif surprenant, par son caractère brusque et inapproprié à la situation ---- Les tics sont des mouvements compulsifs surprenant par leur caractère brusque et inapproprié à la situation. Caractères des tics Un tic présente ordinairement les caractères suivants : suggestibilité : le degré d'émotivité et l'attention du sujet influent sur le déclenchement du tic. involontaire ou semi-volontaire : le tic est spontané ou parasite un mouvement délibéré. suppressible temporairement : le tic répond passagèrement à un effort de contrôle besoin réalisé (urge to move) rémittent : la fréquence des tics connaît des diminutions passagères. On distingue plusieurs types de tics : les tics moteurs simples : clignotement des yeux complexes : mouvement d'haussement d'épaules, mouvements du visage (hausser les sourcils, rouler les yeux, faire mine de renifler), mouvement des mains (taper sur un support, "jouer" avec sa barbe, ses cheveux ou ses sourcil
Tics :
mouvements involontaires, brusques, reproduisant des mouvements usuels.
Un patient possède souvent les mêmes tics même si ceux ci peuvent être évolutifs.
Les tics sont augmentés par le stress ou l'anxiété et diminués par le contrôle volontaire.
Ils peuvent être :
- moteurs :
- simples : contraction (clignement, grimace, morsure de lèvre...)
- complexes : saut, toupie, besoin de toucher les autres.
- verbaux :
- simples : éructation, soupir
- complexes : coprolalie (propos injurieux); mimétisme
© http://www.mg-psy.org/lexique.php
Le trouble obsessionnel compulsif (abrégé TOC) est un trouble anxieux caractérisé par l'apparition récurrente de pensées intrusives liées ou non à une phobie. Ces pensées dites obsessions génèrent des angoisses qui, selon certaines théories psychiatriques, seraient la cause des compulsions observés chez ces patients. Ces compulsions sont des séries de gestes reconnus comme irrationnels par le malade mais néanmoins répétés de façon ritualisée et envahissante parfois jusqu'à la mise en danger de sa propre vie. Les symptômes peuvent s'exprimer de façon très variable d'un patient à l'autre (incluant phobie de la saleté, lavage des mains, vérifications, obsessions sexuelles). D'après les critères du manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV) et de la CIM-10, le TOC est considéré comme une entité psychopathologique qui remplace la névrose obsessionnelle. Le TOC est à distinguer du trouble de la personnalité obsessionnelle aussi caractérisé par des obsessio
La tolérance acquise désigne une accoutumance qui continue malgré l'abstinence. Voir Accoutumance ©Wikipedia
fr.wikipedia.org/wiki/Accoutumance#Accoutumance_et_dépendance
Une tolérance croisée se développe quand la personne ne consomme qu'un seul produit mais que l'organisme s'accoutume à l'ensemble de la famille chimique du produit ou aux produits ayant les mêmes effets. C'est le cas par exemple pour : les opiacés : l'alccol et certains médicaments : le LSD, la mescaline et la psilocybine. Contrairement à ce qu'on lit souvent, il n'y a pas de tolérance croisée entre ces trois substances et la DMT.Voir Accoutumance ©Wikipedia
fr.wikipedia.org/wiki/Accoutumance#Accoutumance_et_dépendance
On parle de tolérance cyclique quand la personne s'accoutume rapidement au produit lorsque la consommation est fréquente et régulière mais que cette accoutumance peut se perdre en cas d'abstinence et réapparaître en cas de reprise de la consommation. C'est le cas pour le LSD. C'est ce phénomène qui explique la légende urbaine typique au LSD appelée rester collé où les personnes décrivent une absence d'effet malgré leur consommation. Voir Accoutumance ©Wikipedia
fr.wikipedia.org/wiki/Accoutumance#Accoutumance_et_dépendance
On parle de tolérance inversée ou tolérance négative lorsque les doses nécessaires à l'effet initial sont plus petites, ou l'apparition de l'effet devient plus rapide, à mesure que la consommation continue. Certains usagers de cannabis ou d'alcool décrivent ce phénomène. Voir Accoutumance ©Wikipedia
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Topique peut désigner :
En psychanalyse :
la première topique de Sigmund Freud (ics / pcs - cs) :
la seconde topique (ça / moi / surmoi) :
plus généralement, un point de vue topique : voir métapsychologie :
Topique est une revue de psychanalyse fondée par Piera Aulagnier.
Animal, végétal ou objet représentant dans de nombreuses sociétés primitives l’ancêtre d’un clan. Freud s’est beaucoup intéressé à l’organisation des sociétés primitives autour du totem pour appréhender le fonctionnement des individus au sein d’un clan, d’un groupe ou d’une société. Voir le livre - Totem et Tabou - qui est un grand classique freudien. ©psyvig
La toxicomanie est l'utilisation de substances qualifiées de psychotropes (action sur le psychisme au sens large) susceptibles d’entraîner un phénomène de tolérance (tolérer ce que l’organisme devrait rejeter) et d’accoutumance. L’accoutumance est un phénomène qui s’installe progressivement dans l’organisme, et se traduit par la nécessité d’augmenter les doses de la drogue que le toxicomane consomme, pour en obtenir l’effet habituel. Ces troubles surviennent rapidement et se traduisent par l’utilisation abusive de certaines substances comme :
* Le cannabis.
* Les amphétamines.
* Les hallucinogènes.
* La cocaïne.
* Les solvants.
* Les opiacés (opium, morphine etc).
* Les barbituriques.
* Les benzodiazépines (comme le valium).
* Le LSD.
* Les hallucinogènes.
* L’alcool.
* L’éther.
* Les solvants.
* Etc…
©vulgaris-medical
Habitude admise par une culture ou une société d'user d'une substance psychotrope sans dommages ni dépendance. C'est souvent le cas du vin, de la bière, du tabac, des tranquilisants.© Dictionnaire critique des termes de psychiatrie et de santé mentale
Le trac est un sentiment d'appréhension irraisonnée avant d'affronter le public, d'entrer en scène. Pour certains comédiens, c'est un stimulant utile qui les aide à jouer sur scène
- Elle attendait le trac qui ne venait pas. Pourtant tous les bons comédiens l'ont - (Françoise Sagan).
On dit aussi - avoir des papillons dans le ventre -.
* Timidité
* Trouble de la personnalité évitante
* Anxiété
©wikipedia
Le Training autogène de Schultz est une technique de relaxation thérapeutique visant un apaisement du stress et de l'anxiété. Lire le dossier sur wikipedia
Définition du mot Tranquillisant : Médication des troubles anxieux
La gamme de tranquillisants réunit des médicaments à structure chimique variée ayant tous pour effet de combattre l'anxiété, d'où le nom d' anxiolytique qui leur est également donné, et ont en même temps un effet sédatif. L'importance proportionnelle de ces deux actions est fonction des doses auxquelles ils sont administrés.©psychologies.com
État de dissociation qui se produit chez les patients sous hypnose ayant pour effet la soumission partielle de leur volonté à celle de l’hypnotiseur.©http://www.psychanalyse.com/freud/dictionnaire.php
Lien affectif s'instaurant entre l'analysant et l'analyste dès lors que le premier rencontre une limite au savoir et suppose que le second posséderait ce savoir qui manque : le psychanalyste oriente la cure sur cette limite, que sa présence matérialise, se gardant bien de tenter d'effacer (par l'interprétation du transfert, notamment) ce qui en constitue le ressort.©editionsmilan.com - ©editionsmilan.com / Processus par lequel les désirs inconscients s'actualisent sur certains objets dans le cadre d'un certain type de relation établi avec eux et éminemment dans le cadre de la relation analytique. Il s'agit d'une répétition de prototypes infantiles vécue avec un sentiment d'actualité marqué. Le transfert est classiquement reconnu comme le terrain où se joue la problématique d'une cure psychanalytique, son installation, ses modalités, son interprétation et sa résolution caractérisant celle-ci. ©Vocabulaire de la psychanalyse de J. Laplanche et J.-B. Pontalis paru aux éditons Puf Quadrige
dicopsy.com/dictionnaire.php/_/psychanalyse/transfert-psychanalytique
C'est en étudiant l'autisme que Frances Tustin a décrit une modalité particulière du transfert qu'elle a nommée transfert adhésif. Dans cette situation l'autiste se comporte comme si l'analyste était une part de lui-même, dont il ne peut aucunement se séparer : la séparation est vécue comme un véritable arrachement physique, avec une angoisse envahissante entraînant soit des crises clastiques soit un retrait du monde. Ce type de transfert peut aussi se retrouver au détours de l'analyse d'une personne ni autiste ni psychotique, quand des blessures de la toute petite enfance sont réveillées. ©wikipedia
On parle de transfert inconscient lorsqu’un témoin identifie par erreur un suspect innocent parce qu’il a eu l’occasion de le voir à un moment ou dans un contexte différents de ceux du délit et avant la séance d’identification. Il s’agit donc du transfert de l’identité du coupable réel vers celle d’une personne innocente, mais que le témoin juge familière.
Carl Gustav Jung n'a pas contesté l'apport de Freud, c'est sur l'importance capitale du transfert mais il envisage celui-ci de manière significativement différente de celle de son aîné sur au moins deux points : Pour Jung, le transfert ne se réduit pas à la névrose de transfert décrite par Freud[réf. nécessaire]. Il ne s'agit pas, pour Jung, d'un phénomène pathologique qu'il s'agirait de réduire par l'analyse, mais d'un phénomène naturel dans la relation entre deux êtres humains, phénomène qui résulte du déploiement des dynamiques archétypiques entre deux personnes. Ensuite Jung ne considère pas que le transfert puisse être simplement appréhendé comme étant un mouvement à sens unique, de l'analysant vers l'analyste, mais bien plutôt comme un mouvement à double sens, qui implique tout autant la personnalité de l'analyste que celle de son patient. Ainsi la distinction freudienne entre transfert et contre-transfert n'a pas, dans la pensée jungienne, la même place que dans la pens
Le transfert chez Lacan [Résumé in : Horacio Etchegoyen: Fondements de la technique psychanalytique, Ed.: Hermann, 2005] - Jacques Lacan transforme à sa manière la conception Freudienne du transfert, en y rajoutant quelques points. Lacan oppose le - transfert symbolique - au - transfert imaginaire -: Pour Lacan, le transfert est d’ordre symbolique, car sa force se trouve dans la fonction où l’analysant pose l’analyste, qu’il l’aime ou le déteste est secondaire. Le transfert est fondamentalement en lien avec un autre connaissant. Sachant que l’analyste est un - sujet supposé savoir - pour Lacan, il dit que le transfert n’est autre que de - l’amour qui s’adresse à du savoir -. Pour Lacan, le transfert dit imaginaire est un obstacle, dans le sens où ce n’est qu’immobilisme du sujet. En effet, le sujet agit dans l’analyse pour ne pas avoir à dire, et plus le sujet résiste, et plus la répétition s'oblige à lui. ©wikipedia
La transgression est l'action de transgresser, de ne pas respecter une obligation, une loi, un ordre, des règles. Par extension, une transgression désigne le fait de : * ne pas se conformer à une attitude courante, naturelle, * progresser aux dépens d'autre chose, d'empiéter sur quelque chose, d'envahir, * dépasser une limite, ou ses limites, * d'aller contre ce qui semble naturel.Transgresser, c'est en quelque sorte franchir le Rubicon éthique ou moral, ne pas respecter une loi, ne pas se conformer à des règles considérées comme acquises, intégrées et acceptées de tous, franchir une limite, une ligne interdite, le plus souvent sciemment, en remettant en question de manière virulente et parfois ironique, la ou les règles que l'on bafoue ainsi ostensiblement. Se situer par rapport à une éthique En effet, la transgression a souvent un côté ostentatoire : on transgresse aussi pour se faire remarquer, on enfreint une loi pour être vu et identifié comme un élément réfractaire, voire rebell
Avec le travestisme (fait d’adopter les vêtements et le comportement du sexe opposé), le transsexualisme, qui touche plus l’homme que la femme, est l’un des deux aspects des troubles de l’identité sexuelle. Les causes du transsexualisme sont pour l’instant inconnues, même si quelques pistes ont été avancées (génétiques et psychiatriques). L’homme ou la femme atteint de transsexualisme possède le nombre et la qualité de chromosomes correspondant à son sexe génétique. Ils ont néanmoins le sentiment (que certains qualifient de délirant) d’appartenir au sexe opposé, entraînant un désir absolu de changer de sexe. L’individu atteint de transsexualisme adopte les habitudes et les comportements sociaux du sexe qui n’est pas le sien. Certains vont jusqu’à décider une intervention chirurgicale qui leur permettra d’acquérir le sexe considéré comme le leur. Cette opération, qui doit être décidée après une analyse approfondie de chaque cas, et même une psychanalyse, cons
Un trauma est une blessure infligée à l'organisme physique et/ou psychique ou la lésion locale qui en résulte. Le traumatisme renvoie quant à lui aux conséquences locales et générales du trauma. ©wikipedia
Choc grave provoquant une atteinte psychique
Le traumatisme physique blesse le corps mais peut aussi, comme le traumatisme psychique, atteindre le mental. Les causes se situent dans tous les événements perturbant de l'existence : deuil, chômage, rupture, accident, etc. La psychanalyse le définit comme un événement grave vécu par un individu qui ne peut l'assimiler.©psychologies.com
Le travail de la cure est défini par deux règles fondamentales. D'autres règles précisent le cadre de la cure mais ces deux règles ont un statut particulier. Association libre La libre association signifie dire à l'analyste tout ce qui vient à l'esprit pendant la séance, avec les mots tels qu'ils viennent. La psychanalyse est une cure par la parole (talking cure) : seul le patient peut retrouver ou donner un sens - ou, d'un point de vue lacanien, les signifiants (mots eux-mêmes), qui structurent sa vie psychique. Cette règle est venue historiquement, alors que Freud avait abandonné l'hypnose, d'une patiente qui lui a demandé de l'écouter et de ne pas l'interrompre par des questions. Voici ce qu'il disait à ses patients : - Une chose encore et avant que vous ne commenciez. Votre récit doit différer, sur un point, d'une conversation ordinaire. Tandis que vous cherchez généralement, comme il se doit à ne pas perdre le fil de votre récit et à éliminer toutes les pensées, toutes les idées s
fr.wikipedia.org/wiki/Cure_psychanalytique
Effort d'analyse et de maîtrise de son propre psychisme
En fonction de l'adage - connais-toi toi-même - le travail sur soi, qu'il soit solitaire ou s'effectue dans une analyse ou une psychothérapie a pour but la meilleure connaissance de son psychisme, inconscient et conscient , la compréhension et la modification positive de ses comportements dans le sens d'une maturation et d'une libération de la personnalité.©psychologies.com
En psychanalyse, processus qui permet de se détacher de l'objet perdu en choisissant de rompre le lien (tuer le mort).
Le travail de deuil est une expression créée par Sigmund Freud dans l'article Deuil et mélancolie en 1915. Il s'agit du processus intrapsychique consécutif à la perte d'un objet d'attachement, d'un être cher. De ce point de vue, toute perte peut nécessiter un travail de deuil.Ce travail s'accompagne de phases pouvant être décomposées classiquement en cinq étapes. ©wikipedia
Signe clinique en neurologie - Probablement * Causes naturelles : le tremblement est normal chez l'ensemble des individus mais il est plus ou moins intense * Il est considéré comme pathologique à partir moment où il gêne une activité * L'absorption de certaines substances peut augmenter le tremblement : café, alcool, certains médicaments * L'alcool également mais essentiellement après une intoxication chronique (s'étalant dans le temps) * Le tremblement naturel a tendance à empirer avec l'âge (tremble sénile) retour au haut de la pageEventuellement * Abus de café ou de thé * C'est le cas par exemple si on lui demande de tenir devant lui le bras tendu * Excitation, anxiété * Exercice physique * Hyperthyroïdie (augmentation de la quantité des hormones thyroïdiennes dans le sang) * Hypoglycémie : diminution du taux de sucre dans le sang * Maladie de Parkinson : le tremblement diminue lorsque le sujet effectue un mouvement volontaire * M
vulgaris-medical.com/symptomes/homme-1/cerveau-systeme-nerveux-5/tremblements-88.html
La trichotillomanie correspond à un besoin irrépressible de s’arracher les cheveux. Ce trouble est classé dans les troubles du contrôle des impulsions. Les troubles du contrôle des impulsions sont décrits comme une incapacité à résister à un besoin d'accomplir un acte que l'on sait néfaste pour soi-même ou pour les autres. Ils sont caractérisés par des actes répétés, incontrôlables, sans motivation rationnelle claire. Le passage à l'acte est typiquement précédé par une période de tension et d'excitation. Après avoir agi, la personne ressent immédiatement un sentiment de soulagement et de gratification. Parfois, mais pas toujours, elle peut avoir des remords de ce qu'elle a fait. Pour que le comportement soit diagnostiqué comme un trouble du contrôle des impulsions, il faut aussi que le comportement ne puisse être expliqué par une autre maladie dont il pourrait être un symptôme et n'est pas non plus la conséquence d'une intoxication à l'alcool ou à d'autres substances. ©de
accoutumance : l'accoutumance est la tendance à augmenter les doses pour continuer d'obtenir les mêmes effets, le phénomène d'accoutumance existe pour tout, que ce soit une substance psycho-active (stupéfiant) ou un niveau sonore, notre corps est fait pour s'adapter et s'adapte à tout élément auquel il est régulièrement soumis. L'accoutumance n'induit pas nécessairement une dépendance physique mais souvent une dépendance psychique. bad trip : le bad trip ne se contrôle pas, ne se prévoit pas, ne se combat pas. Un bad trip peut être induit par n'importe quel produit même si certains favorisent plus son apparition ( notamment les hallucinogènes ). Un bad trip a différent degré, ca peut être un espèce de tiraillement désagréable pendant tout le délire, à une sensation d'être observé, jusqu'aux vraies hallucinations, visions d'horreurs and co. Quoiqu'il en soit le bad trip se subit, plus vous tenterez de lutter contre, plus il sera présent, le seule chose à faire est de l'accepter.
En psychiatrie les troubles bipolaires, anciennement appelés psychose maniaco-dépressive, se définissent par l'alternance de périodes d'excitation d'intensité plus ou moins importante et de périodes de dépression d'intensité modérée ou sévère, quelquefois mélancolique. Les tableaux qui associent en même temps les symptômes dépressifs et maniaques sont très fréquents et leur diagnostic n'est pas évident. Les répercussions des troubles bipolaires sur la vie sociale et personnelle sont essentiellement des changements d'emploi à répétition, des difficultés dans le couple à l'origine de divorce et des conduites addictives survenant par épisodes.©vulgaris-medical
vulgaris-medical.com/encyclopedie/bipolaire-troubles-6589.html
Trouble de la personnalité (Personality Disorder) (DSM IV) Le trouble de la personnalité est en général sérieux, c'est-à-dire qu'il nuit véritablement à l'adaptation de la personne. Il ne s'agit pas de quelques petits défauts ou travers que tout le monde peut avoir. Voici les critères diagnostiques généraux des troubles de la personnalité: * A. Modalité durable de l'expérience vécue et des conduites qui dévie notablement de ce qui est attendu dans la culture de l'individu. Cette déviation est manifeste dans au moins deux des domaines suivants: (1) la cognition (2) l'affectivité (c'est-à-dire la diversité, l'intensité, la labilité et l'adéquation de la réponse émotionnelle) (3) le fonctionnement interpersonnel (collectif) * (4) le contrôle des impulsions B. Ces modalités durables sont rigides et envahissent des situations personnelles et sociales très diverses. * C. Ce m
Trouble de la personnalité antisociale (Antisocial Personality Disorder)(DSM IV) A. Mode général de mépris et de transgression des droits d'autrui qui survient depuis l'âge de 15 ans, comme en témoignent au moins trois des manifestations suivantes: 1. incapacité de se conformer aux normes sociales qui déterminent les comportements légaux, comme l'indique la répétition de comportements passibles d'arrestation 2. tendance à tromper par profit ou par plaisir, indiquée par des mensonges répétés, l'utilisation de pseudonymes ou des escroqueries 3. impulsivité ou incapacité à planifier à l'avance 4. irritabilité ou agressivité, indiquées par la répétition de bagarres ou d'agressions 5. mépris inconsidéré pour sa sécurité ou celle d'autrui 6. irresponsabilité persistante, indiquée par l'incapacité répétée d'assumer un emploi stable ou d'honorer des obligations financières 7. absence de remords, indiquée par le fait d'être indifférent ou de se j
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Trouble de la personnalité borderline (borderline Personality Disorder) ou Etat limite Mode général d'instabilité des relations interpersonnelles, de l'image de soi et des affects avec une impulsivité marquée, qui apparaît au début de l'âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins cinq des manifestations suivantes: 1. Efforts effrénés pour éviter les abandons réels ou imaginés 2. Mode de relations interpersonnelles instables et intenses caractérisées par l'alternance entre les positions extrêmes d'idéalisation excessive et de dévalorisation (voir cIivage / partage / fendage / déchirure ) 3. Perturbation de l'identité: instabilité marquée et persistante de l'image ou de la notion de soi 4. Impulsivité dans au moins deux domaines potentiellement dommageables pour le sujet (p. ex.., dépenses, sexualité, toxicomanie, conduite automobile dangereuse, crises de boulimie) 5. Répétition de comportements, de gestes ou de menaces sui
Trouble de la personnalité dépendante (Dependent Personality Disorder)(DSM IV) Besoin général et excessif d'être pris en charge qui conduit à un comportement soumis et -collant- et à une peur de la séparation, qui apparaît au début de l'âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins cinq des manifestations suivantes: (1) le sujet a du mal à prendre des décisions dans la vie courante sans être rassuré ou conseillé de manière excessive par autrui (2) a besoin que d'autres assument les responsabilités dans la plupart des domaines importants de sa vie (3) a du mal à exprimer un désaccord avec autrui de peur de perdre son soutien ou son approbation. NB: ne pas tenir compte d'une crainte réaliste de sanctions (4) a du mal à initier des projets ou à faire des choses seul (par manque de confiance en son propre jugement ou en ses propres capacités plutôt que par manque de motivation ou d'énergie) (5) cherche à outrance à obtenir le s
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Trouble de la personnalité évitante (Avoidant Personality Disorder)(DSM IV) Il s'agit d'un mode général d'inhibition sociale, de sentiments de ne pas être à la hauteur et d'hypersensibilité au jugement négatif d'autrui qui apparaît au début de l'âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins quatre des manifestations suivantes: 1. le sujet évite les activités sociales professionnelles qui impliquent des contacts importants avec autrui par crainte d'être critiqué, désapprouvé ou rejeté 2. réticence à s'impliquer avec autrui à moins d'être certain d'être aimé 3. est réservé dans les relations intimes par crainte d'être exposé à la honte et au ridicule 4. craint d'être critiqué ou rejeté dans les situations sociales 5. est inhibé dans les situations interpersonnelles nouvelles à cause d'un sentiment de ne pas être à la hauteur 6. se perçoit comme socialement incompétent, sans attrait ou inférieur aux autres 7
Trouble de la personnalité histrionique (Histrionic Personality Disorder)(DSM IV) A. Il s'agit d'un mode général de réponses émotionnelles excessives et de quête d'attention, qui apparaît au début de l'âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins cinq des manifestations suivantes: 1. le sujet est mal à l'aise dans les situations où il n'est pas au centre de l'attention d'autrui 2. l'interaction avec autrui est souvent caractérisée par un comportement de séduction sexuelle inadaptée ou une attitude provoquante 3. expression émotionnelle superficielle et rapidement changeante 4. utilise régulièrement son aspect physique pour attirer l'attention sur soi 5. manière de parler trop subjective mais pauvre en détails 6. dramatisation, théâtralisme et exagération de l'expression émotionnelle 7. suggestibilité, est facilement influencé par autrui ou par les circonstances 8. considère que ses relations sont plus intime
Trouble de la personnalité narcissique(Narcissistic Personality Disorder) (DSM IV) Il s'agit d'un mode général de fantaisies ou de comportements grandioses, de besoin d'être admiré et de manque d'empathie qui apparaissent au début de l'âge adulte et sont présents dans des contextes divers, comme en témoignent au moins cinq des manifestations suivantes: 1. le sujet a un sens grandiose de sa propre importance (p. ex., surestime ses réalisations et ses capacités, s'attend à être reconnu comme supérieur sans avoir accompli quelque chose en rapport) 2. est absorbé par des fantaisies de succès illimité, de pouvoir, de splendeur, de beauté ou d'amour idéal 3. pense être -spécial- et unique et ne pouvoir être admis ou compris que par des institutions ou des gens spéciaux et de haut niveau 4. besoin excessif d'être admiré 5. pense que tout lui est dû: s'attend sans raison à bénéficier d'un traitement particulièrement favorable et à ce que ses désirs soient automatiq
Trouble de la personnalité obsessionnelle-compulsive (Obsessive-Compulsive Personality Disorder) (DSM IV) Il s'agit d'un mode général de préoccupation par l'ordre, le perfectionnisme et le contrôle mental et interpersonnel, aux dépens d'une souplesse, d'une ouverture et de l'efficacité qui apparaît au début de l'âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins quatre des manifestations suivantes: 1. Préoccupations par les détails, les règles, les inventaires, l'organisation ou les plans au point que le but principal de l'activité est perdu de vue 2. Perfectionnisme qui entrave l'achèvement des tâches (p. ex., incapacité d'achever un projet parce que des exigences personnelles trop strictes ne sont pas remplies) 3. Dévotion excessive pour le travail et la productivité à l'exclusion des loisirs et des amitiés (sans que cela soit expliqué par des impératifs économiques évidents) 4. Est trop consciencieux, scrupuleux et rigide sur des qu
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Trouble de la personnalité obsessionnelle-compulsive (Obsessive-Compulsive Personality Disorder) (DSM IV) Il s'agit d'un mode général de préoccupation par l'ordre, le perfectionnisme et le contrôle mental et interpersonnel, aux dépens d'une souplesse, d'une ouverture et de l'efficacité qui apparaît au début de l'âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins quatre des manifestations suivantes: 1. Préoccupations par les détails, les règles, les inventaires, l'organisation ou les plans au point que le but principal de l'activité est perdu de vue 2. Perfectionnisme qui entrave l'achèvement des tâches (p. ex., incapacité d'achever un projet parce que des exigences personnelles trop strictes ne sont pas remplies) 3. Dévotion excessive pour le travail et la productivité à l'exclusion des loisirs et des amitiés (sans que cela soit expliqué par des impératifs économiques évidents) 4. Est trop consciencieux, scrupuleux et rigide sur des qu
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Trouble de la personnalité paranoïaque (DSM IV) A. Méfiance soupçonneuse envahissante envers les autres dont les intentions sont interprétées comme malveillantes, qui apparaît au début de l'âge adulte et est présente dans divers contextes, comme en témoignent au moins quatre des manifestations suivantes: 1. le sujet s'attend sans raison suffisante à ce que les autres l'exploitent, lui nuisent ou le trompent 2. est préoccupé par des doutes injustifiés concernant la loyauté ou la fidélité de ses amis ou associés 3. est réticent à se confier à autrui en raison d'une crainte injustifiée que l'information soit utilisée de manière perfide contre lui 4. discerne des significations cachées, humiliantes ou menaçantes dans des commentaires ou des événements anodins 5. garde rancune, c'est-à-dire ne pardonne pas d'être blessé, insulté ou dédaigné 6. perçoit des attaques contre sa personne ou sa réputation, alors que ce n'est pas apparent pou
Trouble de la personnalité schizoïde (Schizoid Personality Disorder)(DSM IV) A. Mode général de détachement par rapport aux relations sociales et restriction de la variété des expressions émotionnelles dans les rapports avec autrui, qui apparaît au début de l'âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins quatre des manifestations suivantes: 1. le sujet ne recherche, ni n'apprécie, les relations proches y compris les relations intrafamiliales 2. choisit presque toujours des activités solitaires 3. n'a que peu ou pas d'intérêt pour les relations sexuelles avec d'autres personnes 4. n'éprouve du plaisir que dans de rares activités, sinon dans aucune 5. n'a pas d'amis proches ou de confidents, en dehors de ses parents du premier degré 6. semble indifférent aux éloges et à la critique d'autrui 7. fait preuve de froideur, de détachement, ou d'émoussement de l'affectivité. B. Ne survient pas exclusivement pendant l'é
Trouble de la personnalité schizotypique (Schizotypal Personality Disorder)(DSM IV) A. Mode général de déficit social et interpersonnel marqué par une gêne aiguë et des compétences réduites dans les relations proches, par des distorsions cognitives et perceptuelles, et par des conduites excentriques. Le trouble apparaît au début de l'âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins cinq des manifestations suivantes: 1. idées de référence (à l'exception des idées délirantes de référence) c'est-à-dire, croyance erronée selon laquelle les événements, les objets ou les autres personnes de l'environnement immédiat du sujet ont une signification particulière et inhabituelle. 2. croyances bizarres ou pensée magique qui influencent le comportement et qui ne sont pas en rapport avec les normes d'un sous-groupe culturel (par exemple superstition, croyance dans un don de voyance, dans la télépathie ou dans un -sixième- sens: chez les enfants e
Trouble de stress post traumatique (Posttraumatic Stress Disorder)(DSM IV) A. La personne a été exposée à un évènement traumatique dans lequel les 2 éléments suivants étaient présents: (1) la personne a expérimenté, était témoin, ou a été confronté à un évènement ou des évènements qui impliquent réelles ou menaces de mort ou blessure réelle, ou menace à son intégrité physique de soi-même ou d'autres (2) La réaction de la personne a impliqué une peur intense, impuissance ou horreur. Note: Pour les enfants, cela peut se manifester par des comportements désorganisés ou agités. B. L'évenement traumatique est réexpérimenté de facon persistante dans une (ou plus) des facons suivantes: (1) Souvenirs de l'évènement récurrent et envahissant, incluant images, pensées, ou perceptions. Note: Pour les jeunes enfants, la repétition d'une jeu peut apparaitre dans lesquels les themes ou aspects du traumastimes sont exprimés. (2) Rêves pénibles et récurrents sur l'évènement.
Trouble Déficit de l'Attention avec ou sans Hyperactivité(DSM IV) Attention Deficit with or without Hyperactivity, abrégé en anglais par A.D.H.D. Pour pouvoir poser un diagnostic positif, le D.S.M. exige depuis 1994 qu'en plus de répondre aux critères symptomatiques, le jeune présente aussi des problèmes de fonctionnement social (ou d'adaptation sociale) dans au moins deux (2) contextes de son microsystème: maison, amis, écoles A. Présence soit de (1), soit de (2): (1) six des symptômes suivants d'inattention (ou plus) ont persisté pendant au moins 6 mois, à un degré qui est inadapté ou ne correspond pas au niveau de développement de l'enfant: Inattention (a) souvent, ne parvient pas à prêter attention aux détails, ou fait des fautes d'étourderie dans les devoirs scolaires, le travail ou d'autres activités (b) a souvent du mal à soutenir son attention au travail ou dans les jeux (c) semble souvent ne pas écouter quand on lui parle personnellement (d) souven
Définition - Présence d'idées délirantes, bien systématisées, non-bizarres, accompagnées d'affects appropriés. Epidémio - La prévalenec dans la popuatioin générale est de 24 à 30 pour 100'000 personnes. - Ces troubles sont rares dans la population psychiatrique. DSM IV - Délires non-bizarres (pouvant réellement arriver), d'une durée d'au moins un mois - Ces troubles ne sont pas dus à une schizophrénie, et qui n'affectent pas la vie sociale ou professionnelle. Classification - Erotomane - Grandiose - Jaloux - Persécuté - Somatique - Mixte - Non-spécifié Clinique - Les troubles délirants ont un cours chaotique, mais rarement une rémission. - Les délires sont bien systématisés et encapsulés. - Des épisodes dépressifs majeurs sont une complication fréquente. - Le patient est souvent agnosognosique. Dignostic différentiel - Trouble de l'humeur avec caractéristiques psychotiques (humeur altérée et présente avant le délire) - Schizophrénie (délires bizarres, hallucinations
Par Marlène FOUCHEY le samedi, septembre 12 2009, 00:28 - PsychoPathologie - Lien permanent Définition des troubles schizophréniques selon le DSM IV, épidémiologie du trouble, arrêt sur les différentes formes cliniques de la schizophrénie avant de terminer sur l'évolution et la prise en charge. Critères du DSM IV A. Symptômes caractéristiques : Deux (ou plus) des manifestations suivantes sont présentes, chacune pendant une partie significative du temps pendant une période d’un mois (ou moins quand elles répondent favorablement au traitement) : (1) idées délirantes (2) hallucinations (3) discours désorganisés (coq à l’âne fréquents, incohérence) (4) comportement grossièrement désorganisé ou catatonique (5) symptômes négatifs (émoussement affectif, alogie ou perte de volonté) N.-B : Un seul symptôme du critère A est requis si les idées délirantes sont bizarres ou si les hallucinations consistent en une voix commentant en permanence le comportement ou les pensées du sujet,
psychologie-m-fouchey.psyblogs.net/?post/319-Les-troubles-schizophreniques
Les troubles somatoformes désignent la présence de symptômes physiques pouvant évoquer une affection médicale, mais qui ne peuvent s'expliquer ni par une affection médicale générale, ni par un autre trouble mental. ©Lire l'article Wikipedia
Les troubles des conduites alimentaires (ou troubles des comportements alimentaires) (TCA)1, se caractérisent par un trouble en rapport à l'alimentation. Cette psychopathologie qui présente sous des formes diverses peut apparaitre à tout âge mais touche principalement les adolescents, notamment les filles. Elle peut être reliée à un autre trouble psychique comme les dépressions, les psychoses (délire d'empoisonnement) ou traduit un fonctionnement borderline et/ou addictif. Les TCA sont à distinguer d'affections organiques telle par exemple la « véritable » anorexie qui est un trouble strictement médical. En clinique, ces différentes formes se présentent soit de manière isolée soit mixte : l'anorexie mentale, la boulimie, le pica, le mérycisme, l'orthorexie, l'hyperphagie, la sitiomanie et la carpophobie. Les TCA peuvent être transitoires ou durables et alors parfois devenir invalidants, engendrant même un risque vital (en particulier pour l'anorexie mentale). Les traitements de ces tro
Trouble pédopsychiatrique ---- Définition nationale des troubles d'apprentissage Adoptée par l'Association canadienne des troubles d'apprentissage le 30 janvier, 2002 L’expression « troubles d’apprentissage » fait référence à un certain nombre de dysfonctionnements pouvant affecter l’acquisition, l’organisation, la rétention, la compréhension ou le traitement de l’information verbale ou non verbale. Ces dysfonctionnements affectent l’apprentissage chez des personnes qui, par ailleurs, font preuve des habiletés intellectuelles moyennes essentielles à la pensée ou au raisonnement. Ainsi, les troubles d’apprentissage sont distincts de la déficience intellectuelle. Les troubles d’apprentissage découlent d’atteintes d’un ou de plusieurs processus touchant la perception, la pensée, la mémorisation ou l’apprentissage. Ces processus incluent entre autres le traitement phonologique, visuo-spatial et langagier, ainsi que la vitesse de traitement de l’information, de la mémoire
Trouble pédopsychiatrique ---- TROUBLE DU LANGAGE DE TYPE EXPRESSIF « Les scores obtenus sur des mesures standardisées (administrées individuellement) du développement des capacités d'expression du langage sont nettement au dessous des scores obtenus sur des mesures standardisées des capacités intellectuelles non verbales d'une part, de ceux obtenus des mesures standardisées du développement des capacités réceptives du langage d'autre part. la perturbation peut se manifester sur le plan clinique par des symptômes tels que : vocabulaire totalement restreint, erreurs de temps, difficultés d' »évocation de mots, difficultés à construire des phrases dune longueur ou d'une complexité appropriées au stade de développement. » TROUBLE DU LANGAGE DE TYPE MIXTE RECEPTIF-EXPRESSIF « Les scores obtenus sur des mesures standardisées (administrées individuellement) du développement des capacités expressives et des capacités réceptives du langage sont nettement au dessous des scores obtenus sur
les troubles de la mémoire peuvent toucher les faits récents (mémoire antérograde) ou anciens (mémoire rétrograde).
Dans les démences, les déficits touchent préférentiellement les faits récents, les souvenirs étant conservé jusqu'aux stades tardifs.
Pour tester la mémoire récente, on peut s'aider de 3 noms communs que le patient doit répéter dans l'immédiat puis après 3 minutes sur un autre sujet.
Classiquement dans les démences les patients ne se rappellent pas des mots même après un indiçage (donner un indice : par exemple pour se souvenir du mot " poignée ", on peut parler d'une porte) contrairement aux dépressions ou l'indiçage permet au patient de retrouver le mot.
© http://www.mg-psy.org/lexique.php
Trouble pédopsychiatrique --- ©http://www.afeseo.ca/html/ParentEntraineur/Motricite/TroublesCoordination.htm
afeseo.ca/html/ParentEntraineur/Motricite/TroublesCoordination.htm
Trouble pédopsychiatrique ---- Troubles sphinctériens chez l’enfant Publié le 24 août 2012 C’est le plus souvent dans le courant de sa deuxième année que l’enfant acquiert le contrôle de la défécation puis de la miction. L’obtention de ce contrôle, considéré comme physiologique entre un ans et trois ans, dépend de plusieurs facteurs dont la maturation nerveuse qui permet l’intégration des centres médullaires sous le contrôle cortical entrainant la maîtrise des muscles striés sphinctériens et la perception des sensations liées à la réplétion vésicale et rectale puis au passage urétral et anal. Cette maturation nerveuse autorise donc progressivement l’apprentissage du contrôle sphinctérien imposé par l’entourage, lui même modulé par des facteurs éducatifs et affectifs. En effet, les modalités éducatives et le contexte affectif de ces apprentissages sont déterminants pour le comportement de l’enfant qui associe le contrôle sphinctérien au plaisir éprouvé d
psychiatrie.free-h.fr/pedopsychiatrie/troubles-sphincteriens-enfant.html
Troubles aigus (moins de 6 mois) : bouffée délirante aiguë, certaines dépressions (mélancolie délirante), certains états maniaques (manie délirante). - Troubles chroniques (plus de 6 mois) : groupe des schizophrénies : délire à thèmes et mécanismes multiples, non systématisé, qui est appelé : délire paranoïde : schizophrénie paranoïde, Hébéphrénie, Héboïdophrénie, schizophrénie catatonique, schizophrénie simple - Groupe des paranoïas : Mécanisme intuitif + interprétatif, thème persécutif, très systématisé et cohérent, qui est appelé : délire paranoïaque : de revendication, de jalousie, d'érotomanie... psychose hallucinatoire chronique, paraphrénie.©wikipedia
Les troubles du sommeil sont divisés en 3 groupes principaux : * Les dyssomnies : insomnie d’origine psychologique (incapacité à dormir la nuit), insomnie d’altitude, insomnie d’origine extérieure (extrinsèque), troubles du sommeil liés à l’alcool ou à des médicaments, narcolepsie. L’insomnie est une plainte fréquente du sujet âgé de plus de 60 ans. On distingue l’insomnie de début de sommeil, l’insomnie de maintien de sommeil et l’insomnie de réveil précoce. Une insomnie temporaire peut durer jusqu’à 3 semaines : au delà, on parle d’insomnie chronique : * Les parasomnies sont des troubles du sommeil associés à des réveils nocturnes mais sans perturbation importante du sommeil ou altération de la vigilance au cours de la journée. Il sont surtout observés chez l’enfant mais peuvent persister chez l’adulte revêtant un caractère pathologique. Les parasomnies comprennent le somnambulisme, les terreurs nocturnes, les troubles du sommeil associé
doctissimo.fr/html/sante/encyclopedie/sa_844_troubles_du_sommeil.htm
Trouble pédopsychiatrique - Les troubles envahissants du développement ou TED sont des troubles du développement qui apparaissent dans l'enfance, définis par la classification internationale des maladies et le Diagnostic and Statistical Manual IV. Lire l'article sur wikipedia
La pathomimie ou trouble factice est un trouble mental au cours duquel le sujet éprouve le besoin morbide de simuler une maladie en s'imposant des symptômes, et en pouvant aller pour cela jusqu'à des attaques de son propre corps pour y provoquer délibérément des lésions. ©Lire l'article Wikipedia
On appelle troubles de l'identité sexuelle le malaise et le sentiment d'inadéquation pouvant être ressentis par une personne vis-à-vis du genre qui lui est attribué d'après son sexe. En France, les troubles de l'identité sexuelle ne sont plus classés dans la nomenclature de la sécurité sociale dans le chapitre des troubles de la personnalité ouvrant droit a une prise en charge en ALD depuis février 2010.- En dépit de toute classification allant dans le sens contraire, l’orientation sexuelle et l’identité de genre d’une personne ne sont pas en soi des maladies et ne doivent pas être traitées, soignées ou supprimées -. Thomas Hammarberg, commissaire aux droits de l'homme du Conseil de l'Europe est aussi de la même opinion contre toute classification psychiatrique pour les transgenre et la sterilisation forcée pour le changement du sex légal. ©lire l'article sur wikipedia
fr.wikipedia.org/wiki/Troubles_de_l'identité_sexuelle
fr.wikipedia.org/wiki/Catégorie:Trouble_sexuel_et_trouble_de_l'identité_sexuelle
Pathologie du cerveau - Les tumeurs cérébrales (tumeurs intracrâniennes de l'adulte). Qu'est-ce que c'est ? Les tumeurs intracrâniennes regroupent toutes les tumeurs bénignes ou malignes qui se trouvent dans la boîte crânienne et qui se développent aux dépens du cerveau ou des structures anatomiques voisines : méninges, nerfs crâniens, hypophyse... La classification de ces tumeurs est complexe mais peut être résumée comme suit : Les tumeurs intracérébrales, en général malignes * Glioblastomes malins, surtout après 50 ans : * Astrocytomes bénins histologiquement mais très infiltrants * Médulloblastomes malins (surtout chez l'enfant) * Paragliomes (épendymome, kystes colloides, papillomes des plexus choroides, pinéalomes) * Hémangioblastome cérébelleux bénin * Métastases cérébrales (bronches surtout mais aussi sein, rein, mélanome, rectum, estomac, thyroïde, organes génitaux) Les tumeurs extra-cérébrales en général bénignes et curables par la neu
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Pathologie médullaire - Les tumeurs médullaires sont soit primitives soit secondaires. Quand elles sont primitives, il s'agit de: * Méningiome. * Neurofibrome. * Guillaume. * Épendymome. * Médulloblastome. Quand elles sont secondaires il s'agit de métastases provenant d'un cancer du poumon, d'un cancer de la thyroïde, de la prostate et du rein. Il peut s'agir également d'un lymphome malin ou non hodgkinien. Les symptômes survenant au cours des tumeurs médullaires sont : Pour les tumeurs extra médullaires, dont le début est insidieux, on constate l'apparition de symptômes neurologiques survenant d'un seul côté qui sont le résultat de la compression de la moelle épinière. Il s'agit avant tout de douleurs dues à la compression des racines nerveuses (douleurs radiculaires) de paresthésie (fourmillement, impressions d'électricité) troubles de la sensibilité, d'une diminution du volume des muscles (atrophie musculaire) correspondant au territoire des racines concernées
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