LEXIQUE Définitions courantes des termes présents sur le site
Conduite découlant du stade anal qui consiste en une valorisation par rapport à l'Objet et une projection d'agressivité sexualisée. C'est le plaisir que l'on tire à faire souffrir ou humilier l'Autre. Le sadisme implique la confusion entre dynamisme érotique et dynamisme agressif. Le but est de contrôler, maîtriser corporellement l'Objet affectif. Chez l'Adulte, c'est l'angoisse de castration qui provoque une régression au stade anal: pour ne pas être la victime, le sadique devient bourreau. ©psychiatriinfirmiere.free.f
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Elément indésirable d'un système. La saleté dépend d'un code, d'une mise en ordre. Construire un système ordonné implique le rejet d'éléments indésirables, dénommés -saleté-. Il n'y a pas de différence naturelle entre la saleté et la propreté: c'est la Mère qui transmet à l'Enfant sa propre attitude vis à vis de la propreté. Elle transmet ainsi des règles culturelles et sa propre relation à la saleté, acquise au stade anal (règles familiales). ©psychiatriinfirmiere.free.f
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Santé mentale : concept venu se substituer à celui de psychopathologie clinique (université, psychologie), recouvrant le concept médicaliste de soin, correllé à celui de maladie et de disfonctionnement compartimenté en liste de troubles. Les troubles prétendant périmer une conception globale de la personne dont les dysfonctionnements psychiques, symptômes, font sens..©cifpr.fr
Satisfaction - Gratification Plaisir provoqué par l'obtention de l'Objet de la pulsion. La satisfaction résout la tension. ©psychiatriinfirmiere.free
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Concept proposé par Jacques Lacan, la scansion des séances est devenue le propre des psychanalystes lacaniens. La scansion consiste en une pratique de la fin de séance pensée comme ponctuation afin de souligner un dire du sujet, une manifestation de l'inconscient. Cette scansion est un acte du psychanalyste. C'est de cette pratique que découle le fait que les durées des séances chez le psychanalyste lacanien puissent varier de façon importante : et tendent en tout cas à ce que celles-ci soient plutôt courtes. Notons que cette pratique qui a ouvert la scission entre les psychanalystes de l'API et ceux se réclamant de Lacan. ©doctissimo
forum.doctissimo.fr/psychologie/psychotherapies/seance-chez-psychiatre-sujet_86_1.htm
La schizoïdie est la capacité de ne plus se rendre compte de sa solitude ou de son besoin d'expression corporelle et sentimentale.© Roland Jaccard
Le terme de schizophrénie regroupe de manière générique un ensemble d'affections psychiatriques présentant un noyau commun, mais dites différentes quant à leur présentation et leur évolution. On utilise le pluriel pour désigner ces schizophrénies. - Schizophrénie - provient de - schizo - du grec - ??????? - (schizein) signifiant fractionnement et - ???? - (phrèn) désignant l’esprit. C'est donc une - coupure de l'esprit -, pas au sens d'une 'double personnalité' comme on l'entend parfois, mais au sens d'une perte de contact avec la réalité ou, d'un point de vue psychanalytique, d'un conflit entre le Moi et la réalité. C'est une pathologie psychiatrique généralement chronique, qui survient plutôt à l'adolescence ou au début de l'âge adulte. La schizophrénie est une psychose, qui se manifeste par des signes de dissociation mentale, de discordance affective et d'activité délirante, ce qui a pour conséquences une altération de la perception de soi-même, des troubles cognitifs, et d
fr.wikipedia.org/wiki/Schizophrénie
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La schizotypie est un concept proposé par Sandor Rado durant la période où l'on essayait de réfléchir à la nature de fond de la schizophrénie et comment elle peut se présenter sous des formes dégradées. Rado forme un néologisme à partir de -schizophrenic- et -phénotype- (et non pas -génotype- comme cela a été traduit par d'autres auteurs). - Lorsqu'on soumet les manifestations patentes de la schizophrénie à une analyse psychodynamique minutieuse, on découvre un ensemble de traits psychodynamiques sous-jacents (...) que l'on peut mettre en évidence chez le patient tout au long de sa vie. Ce qui permet de le définir comme un schizotype de la naissance à la mort, et nous autorise à considérer son histoire de vie comme une succession d'états schizotypiques. On peut appeler organisation schizotypique l'ensemble des traits psychodynamiques particuliers aux schizotypes. - Ce n'est pas un diagnostic mais une forme d'organisation du psychisme. Pour Rado, il y a deux choses fondamentales, deux
Les sciences cognitives regroupent un ensemble de disciplines scientifiques dédiées à l'étude et la compréhension des mécanismes de la pensée humaine, animale ou artificielle, et plus généralement de tout système cognitif, c'est-à-dire tout système complexe de traitement de l'information capable d'acquérir, conserver, utiliser et transmettre des connaissances. Les sciences cognitives reposent donc sur l'étude et la modélisation de phénomènes aussi divers que la perception, l'intelligence, le langage, le calcul, le raisonnement ou même la conscience. En tant que domaine interdisciplinaire, les sciences cognitives utilisent conjointement des données issues d'une multitude de branches de la science et de l'ingénierie, en particulier : la linguistique, l’anthropologie, la psychologie, les neurosciences, la philosophie, l'intelligence artificielle. Après environ cinquante années d'existence, les sciences cognitives forment donc un champ interdisciplinaire très vaste dont les limites et l'a
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Pathologie du cerveau - La sclérose en plaques est une maladie qui touche le système nerveux central, en particulier le cerveau, les nerfs optiques et la moelle épinière. Elle altère la transmission des influx nerveux et peut se manifester par des symptômes très variables : engourdissement d’un membre, troubles de la vision, sensations de décharge électrique dans un membre ou dans le dos, troubles des mouvements, etc. Le plus souvent, la sclérose en plaques évolue par poussées, au cours desquelles les symptômes réapparaissent ou de nouveaux symptômes surviennent. Au bout de quelques années, les poussées laissent des séquelles (symptômes permanents) qui peuvent devenir très invalidantes. La maladie peut en effet porter atteinte à de nombreuses fonctions : le contrôle des mouvements, la perception sensorielle, la mémoire, la parole, etc. La sclérose en plaques est une maladie auto-immune chronique, dont la gravité et l’évolution sont très variables. Elle a été décrite pour la p
passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=sclerose_plaques_pm
Séduction sexuelle de l'enfant par un adulte. J. Laplanche en a fait une théorie posée en 1987 dans Nouveaux fondements pour la psychanalyse - La séduction originaire, soit la théorie de la séduction généralisée, qui suppose que l'enfant (de la sexualité infantile) est séduit par la part sexuelle inconsciente de l'adulte sur lui, d'où il s'ensuit le refoulement originaire, soit l'avènement de l'inconscient tel qu'il est défini par Freud. Dans la relation analyste-patient, ce processus se rejoue, permettant un travail analytique sur des troubles narcissiques profonds. La théorie de la séduction généralisée débouche sur une conception de la transcendance du transfert, formulée par J. Laplanche dans ses Problématiques V – Transcendance du transfert. ©Wikipedia
Séparation - La séparation s'amorce par l'alternance du système satisfaction/insatisfaction qui permet à l'Enfant de se différencier de la Mère. Cette séparation devient synonyme de perte et d'angoisse au 8 ème mois (angoisse du 8 ème mois). La séparation est indispensable pour l'indépendance de l'Enfant. ©psychiatriinfirmiere.free.fr - Séparation - Moment où l'Enfant, par le mécanisme du refoulement, renonce à son désir incestueux. - L'Enfant renonce au désir incestueux grâce à la fonction séparatrice du Père, puis la découverte des règles sociales sous la pression de l'instance refoulante: le Surmoi. psychiatriinfirmiere.free.fr
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La sérotonine ou 5-OH-tryptamine est un dérivé du tryptophane, par hydroxylation du Carbone n°5 (5-OH-tryptophane) puis décarboxylation.
Cette voie métabolique existe dans les neurones sérotoninergiques dont cette molécule est le neurotransmetteur spécifique.
La sérotonine intervient dans les mécanismes nerveux du sommeil. Elle est vasoconstrictrice et hypertensive. Elle est libérée également lors du processus inflammatoire et du choc anaphylactique.
La sérotonine est synthétisée par les cellules argentaffines de l'intestin, puis transportée par les plaquettes et les mastocytes et enfin stockée dans les tissus.
http://www.chups.jussieu.fr/polys/biochimie/MIbioch/POLY.Chp.6.19.html
Voir pages serotonine et Traitements du trouble borderline ©aapel
Seuil de tolérance Concernant les stimuli externes et internes, c'est la limite supérieure acceptable par l'individu. Ce seuil pourtant individuel, est variable selon les groupes car il est en rapport avec le climat permissif ou non du milieu. ©psychiatriinfirmiere.free
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Le sevrage est l'action d'arrêter une substance ou un comportement ayant entraîné une dépendance. Cet arrêt conduit à une modification comportementale inadaptée avec des répercussions physiologiques et psychologiques que l'on appelle syndrome de sevrage qui se caractérise par un certain nombre de symptômes neurologiques centraux et périphériques, neuropsychiques, neurovégétatifs et métaboliques. Cet arrêt peut se traduire par un - phénomène de rebond - (augmentation des symptômes déjà présents avant la dépendance). De plus, les symptômes observés pendant le syndrome de sevrage sont souvent opposés à ceux observés en cas d'intoxication avec la substance. L'intensité du syndrome de sevrage est généralement lié à la durée et au degré d'addiction. ©Wikipedia - Sevrage C'est une première épreuve de la réalité qui peut amener l'Enfant à prendre une certaine distance à l'égard de son désir initial de communion, confusion ou fusion avec la Mère. C'est également l'interru
fr.wikipedia.org/wiki/Sevrage_(toxicologie)
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La sexologie est l'étude de la sexualité humaine et de ses manifestations. Elle étudie tous les aspects de la sexualité, à savoir le développement sexuel, les mécanismes des rapports érotiques, le comportement sexuel et les relations affectives, en incluant les aspects physiologiques, psychologiques, médicaux, sociaux et culturels. La sexologie, dans sa forme moderne, est une science récente qui s'est développée à la fin du XXe siècle. Elle est au carrefour de plusieurs disciplines, comme la médecine, les statistiques, l'épidémiologie, la biologie et les neurosciences, la criminologie, l'histoire, la psychologie et la sociologie. Elle étudie également la sexualité de certains groupes particuliers, comme les handicapés, les enfants et les personnes âgées, mais étudie aussi les pathologies sexuelles telles que les dysfonctions sexuelles, l'obsession sexuelle, les violences sexuelles, et les pratiques marginales comme les paraphilies et les perversions. La sexologie traite également de
Baisse de libido, manque de plaisir, éjaculation précoce ou encore vaginisme… Nombreux sont les troubles sexuels qui amènent les couples à consulter. Comment bien choisir son thérapeute ? Comment se déroulent les consultations ? Tour d’horizon de cette thérapie du sexe.- La sexothérapie Baisse de libido, manque de plaisir, éjaculation précoce ou encore vaginisme... Nombreux sont les troubles sexuels qui amènent les couples à consulter. Comment bien choisir son thérapeute ? Comment se déroulent les consultations ? Tour d’horizon de cette thérapie du sexe. Le principe C’est reconnu officiellement par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) : la santé sexuelle est une donnée importante du bien-être physique et mental de chacun. Il est donc primordial de s’interroger en cas de troubles sexuels afin de retrouver une relation de couple épanouie. C’est l’objectif de la sexothérapie. Créée par William Masters et Virginia Johnson, deux sexologues, la sexothérapie date des ann
aufeminin.com/fiche/couple/f7421-la-sexotherapie.html
doctissimo.fr/html/sexualite/mag_2001/mag0105/se_3200_sexologue_niv2.htm
forum.doctissimo.fr/doctissimo/sexologie-sexotherapie/liste_sujet-1.htm
Sexualité Désigne toute une série d'excitations et d'activités présentes dés l'enfance, qui procurent un plaisir irréductible à l'assouvissement d'un besoin physiologique fondamental. Ces excitations et ces activités se retrouvent à titre de composantes dans la forme génitalisée adulte de l'amour sexuel. ©psychiatriinfirmiere.free - C'est une sexualité prégénitale. La recherche du plaisir se fait au niveau du contrôle des sphincters, avec le plaisir de la rétention, puis celui de l'expulsion. Elle est caractérisée par une bisexualité et un auto-érotisme. Cette recherche de plaisir peut se faire aussi dans la manipulation du boudin fécal ainsi que dans le plaisir de maîtriser l'Objet affectif: la Mère. ©psychiatriinfirmiere.free.f
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Pour la psychanalyse, la vie sexuelle est liée au complexe d'Œdipe et de castration. Elle mobilise le rapport du sujet au langage et a la jouissance : elle est d'emblée psychosexuelle . Elle inclut une part qui vise à la récupération de la jouissance perdue sous forme de plaisir (via le partenaire, par exemple), et une part inassimilable, traumatique, que Lacan préfère dénommer jouissance.©editionsmilan.com
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Signe Tout élément de code qui a un sens. Quelque chose qu'on perçoit et qui veut dire autre chose qu'elle même. Un signe est composé d'un signifiant (forme matérielle sensible) et d'un signifié (un sens, un concept). ©psychiatriinfirmiere.free
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Signifiant : si on décomposait le langage comme on décompose la matière, ce serait l'élément dernier : de façon approximative, nous le défini- rions comme le mot entendu. Isolé, il ne signifie rien. Il renvoie à un sens, à condition d'être articulé à un autre mot par un sujet : c'est pourquoi il représente toujours le sujet qui l'articule auprès d'un autre signifiant.©editionsmilan.com
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Si en logique, le particulier s'oppose à l'universel comme un trait repérable qui ne vaut que pour un sujet-, qui, du coup, s'exclut de l'ensemble : le singulier s'oppose, lui, au général. En psychanalyse, le singulier désigne ce qui du sujet ne s'attrape pas par le langage : le réel, la jouissance. Du coup, le singulier échappe même au savoir du sujet, alors que ce dernier peut très bien avoir une idée de ses particularités - exceptionnelles - !©editionsmilan.com
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Ancienne écriture du symp tôme réveillée par Lacan pour désigner ce que devient le symptôme quand, dépouillé de sa dimension pathologique, il ne garde que sa fonction : nouer le singulier au lien social.©editionsmilan.com
,Sinthome : ancienne écriture du symp tôme réveillée par Lacan pour désigner ce que devient le symptôme quand, dépouillé de sa dimension pathologique, il ne garde que sa fonction : nouer le singulier au lien social.©editionsmilan.com
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Dans une définition large de la notion du social, on peut l'entendre comme étant l'expression de l'existence de relations entre les vivants. Certains animaux non-humains, tels que la plupart des mammifères par exemple, sont qualifiés d'espèces sociales. Il en va de même pour certains insectes. Au sens commun, le terme social renvoie généralement vers le nom commun : société. Cependant, les conceptions sociologiques de société sont nombreuses et même parfois, chez certains auteurs, complètement remises en question. Social en tant que concept sociologique : Les conceptualisations sociologiques de ce que représente le social sont apparues avec la nécessité de définir l'objet de recherche de la sociologie. Émile Durkheim fut l'un des premiers à définir ce qu'est la sociologie en posant son objet de recherche comme étant le - substrat social -.[ Émile Durkheim (1900), - La sociologie et son domaine scientifique. - pp.9 de l'édition électronique] ©wikipedia
Théorie, en psychologie, qui lie l'apparition de troubles psychiques à des facteurs sociaux. ©reverso.net
La sociologie est une science qui cherche à comprendre et à expliquer l'impact du social sur les représentations (façons de penser) et comportements (façons d'agir) humains. Ses objets de recherche sont très variés puisque les sociologues s'intéressent à la fois au travail, à la famille, aux médias, aux rapports de genre (hommes/femmes), aux religions, ethnicités, bref, à l'environnement humain. Les diverses théories sociologiques rendent compte des phénomènes sociaux humains sous plusieurs angles. Elles mettent parfois plutôt l'accent sur l'impact de la société sur le phénomène étudié (effet de la CSP, du sexe, etc.), s'intéressent parfois plus aux motivations des acteurs considérés comme relativement rationnels ou encore aux interactions entre individus. Mais la plupart des sociologues (même wéberiens) s'appuient -consciemment ou non- sur le paradigme selon lequel -quelque chose comme la société- existe objectivement, cette position dans le champ des idées s'opposant potentiel
La sociologie de la famille est une des branches de la sociologie. Son objet d'étude concerne aussi bien les composantes que les évolutions de l'institution qu'est la famille. La famille constitue une unité élémentaire fondamentale de la vie en société dans le sens où elle permet une large part de la reproduction sociale. Il s'agit souvent du premier groupe dans lequel les individus se socialisent et apprennent à vivre en société. La famille est aussi une unité de base dans le cadre duquel sont réalisées une grande part de ces opérations quotidiennes essentielles des individus que sont leur nourriture, leur repos, leur éducation, leurs loisirs et, enfin, leurs activités sexuelles. Dans les siècles précédents, il s'agissait aussi de l'unité qui permettait l'essentiel des activités de production, qu'elles soient agricole, artisanale ou commerciale. Constater que ce rôle a fortement diminué dans les sociétés modernes montre à quel point la famille est en constante évolution et en inte
La vraie sagesse commence par l'expérience de la solitude, dans laquelle je dois me saisir moi-même, sans les artifices de la vie sociale, sans cette image faussée et rassurante que me renvoient les autres. Il ne s'agit pas de se retirer à jamais du monde, il s'agit seulement de parcourir ce chemin qui va des illusions à la béatitude lucide. La solitude est la propédeutique indispensable à la sagesse. En soi elle n'enseigne rien, mais elle rend possible une écoute différente de soi, qui nous fait découvrir le mystère de notre condition. La solitude, en créant une disponibilité intérieure, nous indique une voie qui est la philosophie. En nous rendant attentifs à cette dimension de notre être, la solitude ouvre le chemin de la réflexion. Le -vide- n'est pas le néant mais la forme immédiate que prend la vérité.
©AndréComteSponville
Abus de substance - Groupe hétérogène de substances psychotropes qui passent facilement à l'état de vapeur et sont inhalées pour produire une ébriété et parfois l'inconscience. Il s'agit de produits le plus souvent courants et bon marché : colles et adhésifs contenant toluène et acétone ; dissolvants ; détachants, démaquillants, diluants de peinture ; essence de mobylette et de voiture ; gaz propulseurs d'aérosols ; anesthésiques volatils (éther, protoxyde d'azote) ; alcools (méthanol, isopropanol) ; oxyde de carbone. Ces substances sont toxiques pour les muqueuses labiales, nasales, pharyngées et pour l'appareil respiratoire : toux, hypoventilation, voire asphyxie, et rarement œdème aigu du poumon. Elles sont toxiques pour le système nerveux central : ivresse avec logorée et incoordination motrice ou avec excitation et agressivité à petites doses ; association d'hallucinations à des doses plus importantes. Parfois survient un coma suivi de la mort par dépression respiratoire ou
De façon générale, on parle de somatisation lorsque des symptômes physiques (ex: douleur à la tête, à l'abdomen, au dos, aux articulations, à la poitrine, lors des menstruations, durant les rapports sexuels, symptômes gastro-intestinaux, etc.) ne peuvent être expliqués complètement par une affection médicale ou par les effets directs d'une substance et que l'on fait l'hypothèse que les causes de ces symptômes seraient plutôt psychologiques. Pour le -trouble somatisation- des critères précis doivent être rencontrés.
Voir Page trouble borderline et somatisation ©aapel
Pathologie rencontrée au cours du syndrome pariétal et s'observant dans certaine lésion du cerveau en particulier dans celle du lobe pariétal (située au dessus). Cette incapacité rencontrée par un patient est due à la lésion de l'hémisphère mineur (hémisphère droit chez le droitier). Ceci a pour conséquence des troubles unilatéraux (d'un seul côté) du corps, ce qui dans l'exemple choisi se traduit par une atteinte du côté gauche. L'asomatognosie, quant à elle, appelée également somato-agnosie est la perte de la conscience d'une partie ou de la totalité de notre corps. Cette pathologie, rencontrée au cours du syndrome pariétal, s'observe dans certaines lésions du cerveau, en particulier dans celles du lobe pariétal (situées au dessus). Elle est due à la lésion de l'hémisphère mineur (hémisphère droit chez le droitier). Ceci a pour conséquence des troubles unilatéraux (d'un seul côté) du corps, ce qui dans l'exemple choisi, se traduit par une atteinte du côté gauche.©vu
Richard Meyer, Médecin psychiatre a créé la somatothérapie et a fondé l’association internationale de somatothérapie. La somatothérapie désigne l’ensemble des pratiques corporelles à visée thérapeutique. Soma (le corps), Thérapie (le soin par le corps), Somatique signifie : qui concerne le corps La somatothérapie étudie le fonctionnement et le vécu corporel, notamment sur les réactivités du corps aux stimuli psychiques, aux contraintes de la vie sociale, professionnelles, et affective. C’est un ensemble de techniques psychocorporelles, utilisées en thérapies. Ces techniques font appel à ce que l’on appelle la mémoire cellulaire.(comme dans l’inconscient, tout est enregistré, ancré dans la mémoire des cellules de notre corps depuis le début de la vie) Le corps est messager de notre histoire et l’on peut avec lui se libérer de nos blocages en exprimant nos ressentis et en trouvant nos solutions pour dépasser nos difficultés de vie. Notre corps emmagasine tout au long de n
Les hypnotiques (ou somnifères) sont une classe de médicaments ayant la propriété d'induire le sommeil ou en langage courant de servir de calmant pour des personnes qui auraient du mal à dormir. Tablette de Normison 10 mg (hypnotique). Liste des médicaments Les barbituriques : de moins en moins utilisés à cause de leur toxicité et de la tolérance (accoutumance) Les benzodiazépines, notamment : l'estazolam le nitrazépam le témazépam certaines substances réputées dangereuses comme le flunitrazépam (Rohypnol) et le triazolam (Halcion) avec un risque de tolérance assez rapide Des médicaments apparentés aux benzodiazépines : la zaleplon, le zolpidem (en général sous forme d'hémitartrate de zolpidem), la zopiclone. des antihistaminiques H1 de première génération comme : la phénydramine l'alimémazine, la prométhazine la doxylamine Des substances extraites de plantes :
La sophrologie est une méthode qui permet à chacun d’entre nous de retrouver l’équilibre fragile du corps et de l’esprit, de traiter ses maux de l’âme et du corps. Une méthode douce, une initiation au bien-être, à la créativité, un chemin merveilleux à parcourir seul ou accompagné, une ouverture de l’esprit.©Elisabeth Courtinat-Rei
Stade Etape du développement libidinal ou psycho affectif qui se caractérise par un type de relation Objectale spécifique, un type de conflits et de gratifications spécifiques (Exemple: Stade Oral, stade Anal...). ©psychiatriinfirmiere.free
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Stade du miroir - Pour LACAN : C'est une phase de la constitution de l'être humain qui se situe entre les 6 et 18 premiers mois. L'Enfant, encore dans un état d'impuissance et d'incoordination motrice, anticipe imaginairement l'appréhension (-saisir par l'esprit-) et la maîtrise de son unité corporelle. Cette unification imaginaire s'opère par l'identification à l'image du semblable comme forme totale: elle s'illustre et s'actualise par l'expérience concrète où l'Enfant perçoit sa propre image dans le miroir ainsi que celle de sa Mère. Le stade du miroir constitue la matrice et l'ébauche de ce que sera le Moi. ©psychiatriinfirmiere.free.fr
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Stade oral - Premier stade de l'évolution libidinale: le plaisir sexuel est alors lié de façon prédominante à l'excitation de la cavité buccale et des lèvres qui accompagne l'alimentation. L'activité de nutrition fournit les significations électives par lesquelles s'exprime et s'organise la relation d'Objet. Ainsi par exemple, la relation d'amour à la Mère sera marquée par les significations : manger, être mangé. ©psychiatriinfirmiere.free.fr
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Trouble de stress post traumatique (Posttraumatic Stress Disorder)(DSM IV) A. La personne a été exposée à un évènement traumatique dans lequel les 2 éléments suivants étaient présents: (1) la personne a expérimenté, était témoin, ou a été confronté à un évènement ou des évènements qui impliquent réelles ou menaces de mort ou blessure réelle, ou menace à son intégrité physique de soi-même ou d'autres (2) La réaction de la personne a impliqué une peur intense, impuissance ou horreur. Note: Pour les enfants, cela peut se manifester par des comportements désorganisés ou agités. B. L'évenement traumatique est réexpérimenté de facon persistante dans une (ou plus) des facons suivantes: (1) Souvenirs de l'évènement récurrent et envahissant, incluant images, pensées, ou perceptions. Note: Pour les jeunes enfants, la repétition d'une jeu peut apparaitre dans lesquels les themes ou aspects du traumastimes sont exprimés. (2) Rêves pénibles et récurrents sur l'évènement.
L'histoire de l'utilisation du terme structure en psychopathologie relève de plusieurs champs, la neurologie et les idées de Jackson, de la philosophie où elle est définie comme un ensemble formé de caractères solidaires , tels que chacun d'eux tient ses caractères de sa relation avec les autres et du fait qu'ils appartient à l'ensemble.[André Rey, Marianne Tomi, Tristan Hordé, Chantal Tanet : Dictionnaire historique de la langue française, trois volumes, Ed.: Editions Le Robert]. On retrouve encore l'utilisation du terme structure en linguistique (Troubetzkoy, Jacobson, etc.) et en psychologie avec Claparède (1916) et Paul Guillaume sans parler de l'usage bien connu de l'antropologie de Claude Lévi-Strauss. C'est aussi dans la théorie de la gestalt qu'on trouve une application du terme en psychologie. Freud décrira la structure de l'appareil psychique dans son livre sur les rêves [Sigmund Freud : L'interprétation des rêves (1900), PUF 2005]. Il utilise encore le mot dans d'autres ouvrages m
Le subconscient est un concept récent qui appartient à plusieurs domaines. Le terme signifie -sous la conscience-. Pierre Janet qui crée le mot[2], le définit clairement dans son ouvrage de 1889 l'automatisme psychologique, le subconscient correspond aux processus psychiques non accessibles au sujet conscient. Ces processus relèvent de l'automatisme. Selon lui le subconscient provient d'un défaut de synthèse des éléments constitutifs du champ de la conscience. Il résulte d'une désagrégation psychologique, ou dissociation, entraînée par une pathologie psychogène dont la plus fréquente est l'hystérie. La psychologie cognitive considère[réf. nécessaire] des processus de pensée explicites, conscients et les oppose aux processus implicites, non-conscients. Dans la psychologie cognitive et adaptative, l'implicite s'apparente au psychique de bas-niveau, sauf lorsqu'il s'apparente au psychique de haut niveau[3]. Il s'agit de , non pas au sens moral, éthique ou social, mais au sens de cognition
Selon le Vocabulaire de la psychanalyse de J. Laplanche et J.- B. Pontalis paru aux Éditions PUF dans la collection Quadrige est le - Processus postulé par Freud pour rendre compte d'activités humaines apparemment sans rapport avec la sexualité, mais qui trouveraient leur ressort dans la force de la pulsion sexuelle. Freud a décrit comme activités de sublimation principalement l'activité artistique et l'investigation intellectuelle. La pulsion est dite sublimée dans la mesure où elle est dérivée vers un nouveau but non sexuel et où elle vise des objets socialement valorisés. - Le terme de sublimation, introduit par Freud en psychanalyse, évoque à la fois le terme de sublime, employé notamment dans le domaine des beaux-arts pour désigner une production suggérant la grandeur, l'élévation, et le terme de sublimation utlisé en chimie pour désigner le procédé qui fait passer un corps directement de l'état solide à l'état gazeux. ©psychanalyse-en-mouvement.net - En psychologie ou en psy
psychanalyse-en-mouvement.net/articles.php?lng=fr&pg=476
Face à la peur de l’échec sévit le goût de l’échec, face à l’attrait du succès sévit la peur du succès, c’est-à-dire la crainte de changer à la limite de la fuite en avant et de la catatonie.©Virginie Megglé
Suicide Acte de se tuer, de tuer son Moi. ©psychiatriinfirmiere.free - Le suicide (du latin sui, - soi - et cidium, - acte de tuer -) est l’acte délibéré de mettre fin à sa propre vie. Dans le domaine médical, on parle parfois d’autolyse (du grec ????- / auto- - soi-même - et ????? / lúsis - destruction -). Le suicide (du latin sui, - soi - et cidium, - acte de tuer -) est l’acte délibéré de mettre fin à sa propre vie. Dans le domaine médical, on parle parfois d’autolyse (du grec ????- / auto- - soi-même - et ????? / lúsis - destruction -). Selon une définition moderne qui ne préjuge pas des intentions de la personne et ne juge pas son acte, le suicide est - l’acte qui a pour effet la mort d’une personne et dont l’intention est soit d’en finir avec la vie, soit de produire un nouvel état de choses (comme le soulagement de la douleur), dont le sujet pense qu’il ne peut être atteint qu’au moyen de la mort ou qu’il conduira à la mort -. Le suicide est un acte complex
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Sujet : désigne ce qui, dans l'individu, a le pouvoir de répondre. La réponse n'est pas une réaction. Elle implique une structure langagière et la possibilité d'échapper à toute détermination dans un acte. C'est pourquoi le sujet équivaut non seulement à ce qui est différent d'un individu à un autre, mais aussi à ce qui se dérobe au savoir d'un individu sur lui-même et qui fait sa singularité.©editionsmilan.com - Le sujet est un terme utilisé en psychanalyse pour désigner l'individu, que l'on distingue alors : - de ce que la personne peut connaître d'elle-même, le moi (généralement considéré comme une partie du sujet): - et de ce que les autres peuvent connaître ou ressentir de cette personne (nécessairement incomplet, et potentiellement faux dans la mesure où ils peuvent lui prêter des caractéristiques étrangères à ce qu'il perçoit de lui-même, comme c'est le cas dans la relation d'objet). Le processus qui vise à se réaliser en tant que sujet est central dans toutes les
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Partie du Moi dans laquelle se développent l’autoévaluation critique et d’autres activités réfléchies. Le Surmoi contient l’intériorisation du regard parental et social.©http://www.psychanalyse.com/freud/dictionnaire.php
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Symbiose - A la naissance, l'Enfant se confond avec la Mère. Elle fait partie de lui, de son système de besoins et de satisfactions. Le narcissisme de la Mère s'étend à l'Enfant en même temps qu'il l'inclut dans son propre narcissisme. ©psychiatriinfirmiere.free.fr
,Fusion
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Expression substitutive destinée à faire passer dans la conscience, sous une forme camouflée, certains contenus qui, à cause de la censure, ne peuvent y pénétrer tels quels. Ainsi, une griffe de lion par exemple, représente le lion, qui représente la force, qui pourra représenter un désir de puissance. Elément signifiant d'un code. Représentation conventionnelle employée de manière intentionnelle et permettant d'exprimer une réalité affective, sociale, spirituelle, complexe. ©psychiatriinfirmiere.free - Un symbole peut être un objet, une image, un mot écrit, un son ou une marque particulière qui représente quelque chose d'autre par association, ressemblance ou convention. Par exemple, un losange pour symboliser une route prioritaire. Termes du symbole : - sens et référence -, - signifiant et signifié - : Comme tout le signe, le symbole comprend-il deux ou trois divisions ? La sémiologie théorise deux divisions : le signifiant et le signifié, selon Ferdinand de Saussure (1916). La s
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Symbolique (La) La symbolique est un ensemble de symboles à significations constantes (Exemples: La lune, l'aigle...). C'est aussi l'étude de la fonction du symbole, son rôle dans l'imaginaire, distinct de l'allégorie, de l'analogie et du mythe. La symbolique en étudie les rapports avec l'évolution globale de la personnalité. Par cet aspect, elle relève aussi de la psychologie. ©psychiatriinfirmiere.free
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Symbolique (Le) Un des trois registres de la psychanalyse définis par LACAN: Ordre des phénomènes structurés comme un langage qu'il importe de déchiffrer. Système culturel qui régit les rapports de communication et d'échange (filiation, parenté, langage) dans lequel le sujet doit s'insérer afin de trouver sa place de sociétaire en se pliant à la loi qui fonde cet ordre. Cette loi est articulée par les signifiants fondamentaux tels que -le nom du Père-, ou le -Phallus symbolique-. ©psychiatriinfirmiere.free
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Partie de la médecine étudiant les symptômes des maladies ©aapel
Manifestations, signes d'une maladie permettant de poser un diagnostic.
Voir Page synthese trouble borderline ©aapel
Syndrome neurologique - Le syndrome confusionnel, confusion mentale ou « état confusionnel », comprend un ensemble de troubles des fonctions supérieures, et correspond à une atteinte aiguë et globale des fonctions mentales, se caractérisant essentiellement par un trouble de la conscience. Lorsqu'un onirisme peut lui être associé, on parle alors de syndrome confuso-onirique. (dans les pays anglophones il peut encore être appelé « encéphalopathie métabolique » ou « delirium ». ©https://fr.wikipedia.org/wiki/Syndrome_confusionnel
Syndrome d'apnées du sommeil : syndrome du à des perturbations des flux respiratoires pendant le sommeil, provoquant des ronflements avec apnées nocturnes.
Les ronflements sont classiquement d'intensité croissante jusqu'à une apnée avec micro réveil et agitation, suivie d'une reprise bruyante de la respiration.
On observe parfois une importante sudation nocturne. Les conséquences diurnes associent : somnolence, fatigue, céphalées, irritabilité, troubles thymiques, polyurie, troubles sexuels et des complications cardio-pulmonaires (en particulier hypertension artérielle).
Le diagnostique et l'indication du traitement (généralement ventilation par pression positive continue) s'effectuent en centre spécialisé (neurologie ou pneumologie).
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Syndrome d'ASPERGER http://www.psychomedia.qc.ca/qfr60.htm Ce trouble se caractérise par une altération sévère et prolongée de l'interaction sociale et le développement de modes de comportements, d'activités et d'intérêts restreints, répétitifs et stéréotypés. Il n'y a ni retard du développement du langage, ni perte significative des compétences développementales. Voici les critères diagnostics du DSM IV pour ce syndrome: A. Altération qualitative des interactions sociales, comme en témoignent au moins deux des éléments suivants: (1) altération marquée dans l'utilisation, pour réguler les interactions sociales, des comportements non verbaux multiples, tels que le contact oculaire, la mimique faciale, les postures corporelles, les gestes (2) incapacité à établir des relations avec les pairs correspondant au niveau du développement (3) le sujet ne cherche pas spontanément à partager ses plaisirs, ses intérêts ou ses réussites avec d'autres personnes (p. ex., il ne
Syndrome d'impatience des membres inférieurs : besoin impérieux des bouger les membres inférieurs souvent provoqués par des paresthésies (sensations désagréables difficiles à définir : fourmillements, picotements).
Ces paresthésies apparaissent au repos et sont soulagées par le mouvement ; elles sont maximales le soir et la nuit.
Ce syndrome est la plupart du temps associé à des mouvements périodiques du sommeil (mouvements brefs des membres se répétant à intervalles réguliers). Il existe une importante composante familiale à ce trouble, qui serait lié à des troubles dopaminergiques. Il faut dans un premier temps recherché une carence en fer ou en folates.
L'évaluation diagnostique et l'indication d'un traitement (agoniste dopaminergique, opiacés ou benzodiazépine) s'effectue en milieu spécialisé (neurologie ou centre du sommeil).
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Cette affection est fréquente en pédiatrie et se voit à tout âge, même avant un an. Il s'agit d'un mode réactionnel du tissu nerveux à des causes diverses. Dans la moitié des cas, la cause exacte n'est pas retrouvée. Cependant, les troubles neurologiques surviennent très souvent 8 à 10 jours après un épisode infectieux fébrile rhinopharyngé, respiratoire ou intestinal. Une hépatite, un zona, une mononucléose infectieuse (MNI), des oreillons, une rougeole, une rubéole, une coqueluche, des rickettsioses, une vaccination peuvent être suivis d'une polyradiculonévrite de Guillain-Barré. Il s'agit de l'atteinte inflammatoire (démyélinisation) des racines rachidiennes et des nerfs. Le processus inflammatoire semble d'origine immuno-allergique et déclenché par une agression virale. Les signes de la maladie L'atteinte des racines et des nerfs se traduit par l'installation rapide mais progressive de paralysies flasques symétriques diffuses touchant les membres et la face. Les premiers tro
doctissimo.fr/html/sante/encyclopedie/sa_1096_synd_guillain.htm
Pathologie du système nerveux périphérique - Ce syndrome affecte essentiellement les alcooliques chroniques en forte carence de vitamine B1. Appelée aussi thiamine, cette vitamine joue un rôle déterminant dans l'assimilation des aliments et la transformation du glucose en énergie, notamment pour le cerveau.
Une carence prolongée de cette vitamine peut entraîner une encéphalopathie (syndrome de Gayet-Wernicke) provoquant à son tour des lésions cérébrales irréversibles et responsables du syndrome de Korsakoff. Lire l'article sur le site ante-medecine.commentcamarche.net ©
sante-medecine.commentcamarche.net/contents/memoire/le-syndrome-de-korsakoff
Syndrome neurologique - Le syndrome de la queue de cheval est une entité anatomique et clinique, traduisant une atteinte neurologique pluriradiculaire du périnée et des membres inférieurs sans atteinte médullaire.
Ce syndrome n'existe que pour des lésions se développant au niveau des dernières racines rachidiennes de L2 à L5 et les racines sacrées. Les lésions situées au dessus, en regard de la vertèbre L1 se traduisent par un syndrome du cône terminal. Lire l'article sur Wikipedia ©
On appelle syndrome de sevrage un ensemble de symptômes provoqués par l'arrêt brusque de consommation d'une substance psychotrope. Il varie en forme et en intensité non seulement selon les substances et les doses consommées, mais aussi selon le sujet et le contexte socioculturel où il se trouve (prison, hôpital, domicile). On parle de sevrage lorsque l'arrêt ou la diminution de la consommation d'une substance (alcool, amphétamine, cocaïne, nicotine, opiacés, sédatifs, hypnotiques ou anxiolytiques) amène une modification comportementale inadaptée avec des répercussions physiologiques (ex. augmentation de la pression artérielle, de la fréquence respiratoire, du pouls et de la température corporelle) et cognitives. La plupart des symptômes de sevrage sont les opposés de ceux observés en cas d'intoxication avec la même substance. Plus la durée d'action de la substance est prolongée, plus le délai avant l'apparition des symptômes de sevrage sera long et plus le sevrage pourra durer long
Amour de la victime pour son bourreau. Ce comportement paradoxal a été décrit et qualifié pour la première fois en 1978 par le psychiatre américain F. Ochberg suite à un fait divers qui défraya la chronique durant l’été 1973, quand au terme d’un hold-up manqué dans une banque de Stockholm, on vit les otages prendre fait et cause pour leurs ravisseurs, allant jusqu’à les protéger contre la police puis, après leur libération par les forces de l’ordre, à refuser de témoigner à charge contre eux lors du procès et à leur rendre visite en prison. L’une des victimes, tombée amoureuse de l’un de ses ravisseurs, finira même par l’épouser. Ce syndrome s’explique par le fait que l’otage ressent sa vie comme davantage mise en danger par une intervention de la police que par ses ravisseurs. Le phénomène touche également le preneur d’otage qui, au fil des jours, établit une relation affective particulière avec ses otages. Le syndrome de Stockolm se différen
Syndrome neurologique - Le système extrapyramidal, qu'il est préférable d'appeler système sous cortical, correspond à l'ensemble des noyaux gris centraux (îlots de substance grise noyés dans la substance blanche) d'où partent des fibres nerveuses motrices (donnant des ordres muscles pour effectuer des mouvements) et des fibres afférentes (arrivant dans les noyaux) et efférentes (partant des noyaux). Ces noyaux sont situés dans les régions sous-corticales (en dessous du cortex cérébral) et sous-thalamiques (en dessous du thalamus). Quand il existe une lésion du système extrapyramidal la symptomatologie est proche de celle que l'on observe au cours de la maladie de Parkinson. Les autres symptômes dus à une atteinte du système extrapyramidal sont (liste non exhaustive) : * La maladie de Wilson. * La chorée de Huntington. * L'athétose. * L'hémiballisme. * Certaines myoclonies. * Le spasme de torsion. Lire l'Article sur le site vulgaris-medical © vulgaris-medical.com
vulgaris-medical.com/encyclopedie/extrapyramidale-syndrome-4443.html
Syndrome neurologique - Le syndrome frontal est l'association de plusieurs symptômes observés lors des lésions de la partie antérieure du lobe frontal (AVC, tumeur, traumatisme). Il est possible de classer ces symptômes en plusieurs catégories :
1. Troubles comportementaux,
2. Troubles cognitifs,
3. Autres troubles.
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Syndrome malin des neuroleptiques :
tableau de perturbations neuro-végétatives sévères survenant généralement dans les suites (quelques heures à quelques jours) de l'instauration d'un traitement neuroleptique.
Il associe des troubles de la conscience (confusion, hallucinations...), des symptômes neurologiques ( syndrome extra-pyramidal, dystonies..) et neuro-végétatifs ( fièvre, labilité tensionnelle, hypersudation..).
Il peut exister des perturbations biologiques (augmentation des CPK, des polynucléaires neutrophiles, troubles hydroélectriques...).
Le pronostic vital est engagé et nécessite un transfert en unité de soins intensifs.
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Syndrome métabolique : perturbations métaboliques pouvant être secondaire à la prescription de neuroleptiques, en particulier atypiques, associant une obésité de type androïde, des troubles glucido-lipidiques et une hypertension artérielle.
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Syndrome neurologique - Un syndrome lésionnel se retrouve dans les lésions de la moelle, notamment en cas de compression médullaire. Il résulte de la souffrance de la ou des racines médullaires au niveau de la lésion. Il entraine des symptômes à topographie radiculaire, correspondant au niveau lésionnel.
Il entraîne un déficit moteur et sensitif dans le territoire atteint.
Symptomatologie[modifier]
S'associent :
* douleurs, pouvant être violentes,
* hyperesthésie, hypoesthésie ou anesthésie dans le territoire de la (ou des) racines concernée(s),
* abolition du réflexe pilomoteur,
* plus rarement : parésie ou amyotrophie localisée
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Syndrome neurologique - Troubles de l’équilibre Introduction Impliqué dans le contrôle de l’équilibre, l’appareil vestibulaire est constitué : 1) de récepteurs vestibulaires situés dans le labyrinthe, et sensibles à la pesanteur et aux mouvements : 2) du nerf vestibulaire qui chemine dans l’angle ponto-cérébelleux et gagne la protubérance : 3) des noyaux vestibulaires situés sous le plancher du 4ème ventricule. Symptômes et signes Symptômes Le principal symptôme est le vertige : sensation de déplacement des objets autour du patient. La rotation peut se faire dans un des trois plans de l’espace, le plus souvent horizontal. Des bourdonnements d’oreille et des nausées peuvent y être associés. Plus rarement, il s’agit de sensations de latéro-pulsion ou d’instabilité à la marche. Signes Le nystagmus. C’est une oscillation rythmique et conjuguée des globes oculaires. Il comporte deux secousses : l’une rapide, l’autre lente. En médecine, le sens du nyst
La synesthésie (du grec syn, union, et aesthesis, sensation) est un phénomène neurologique par lequel deux ou plusieurs sens sont associés. Par exemple, dans un type de synesthésie connu sous le nom de synesthésie - graphèmes-couleurs - (qui représenterait 64,9 % des synesthésies), les lettres de l'alphabet ou nombres peuvent être perçus colorés. Dans un autre type de synesthésie, appelée - synesthésie numérique -, les nombres sont automatiquement et systématiquement associés avec des positions dans l'espace. Dans un autre type de synesthésie, appelé - synesthésie de personnification ordinale/linguistique -, les nombres, jours de la semaine, mois de l'année évoquent des personnalités. Dans d'autres types de synesthésie, la musique et d'autres sons peuvent être perçus colorés, ou ayant une forme particulière. La synesthésie impliquant des formes et couleurs est plutôt répandue, alors que la synesthésie impliquant des goûts et odeurs est plutôt rare. En 2004, l'Association am
La maladie est définie par l'existence d'une cavité à l'intérieur de la moelle épinière. Cette cavité peut être plus ou moins longue et contient du liquide céphalo-rachidien sous tension. La moelle cervicale est la plus touchée. La cavité peut néanmoins s'étendre dans le tronc cérébral au niveau du bulbe. Causes et facteurs de risque Les causes sont nombreuses : * Syringomyélies primitives (sans cause connue) : * Syringomyélies associées à une malformation d'Arnold-Chiari. Le syndrome d'Arnold-Chiari est une malformation du cervelet dont une partie est en position cervicale car engagée au travers du trou occipital lui-même malformé. Parfois silencieuse, cette anomalie peut expliquer une hypertension intra-crânienne ou certains troubles neurologiques. * Syringomyélies secondaires à une paraplégie traumatique ou une méningite : * Syringomyélies révélant une malformation vasculaire ou une tumeur de la moelle. Les signes de la maladie La maladie se développe v
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Ensemble de structures du cerveau (ex: hippocampe, corps mammilaire, gyrus cingulaire) impliquées dans la mémoire et les émotions. ©aapel
Si on devait caractériser en quelques mots la démarche systémique par rapport à la démarche analytique traditionnelle héritée de Descartes et dont elle est en réalité beaucoup plus complémentaire qu'opposée, on pourrait dire qu'elle est :- plus dominée par une logique ternaire ou conjonctive (qui relie) que par une logique binaire ou disjonctive (qui sépare) - plus centrée sur le but à atteindre (finalité) que sur la recherche des causes (causalité) - plus relationnelle et globale qu'analytique - plus orientée par le présent-futur (prospective) que par le passé-présent (déterminisme) - plus ouverte sur la diversité des réalités et la pluralité des solutions que sur la quête de certitudes et de réponses -universelles- (the one best way), - moins réductrice enfin car accueillante à l'émergence de la nouveauté et à l'invention. ©Groupe AFSCET