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UNE CONNAISSANCE ET UNE THÉRAPIE DES TROUBLES PSYCHIQUES
D'un point de vue historique, la psychanalyse est à l'origine une technique psychothérapeutique, mise au point par Sigmund Freud, provenant de la cure cathartique de Josef Breuer appelée « talking cure », du fait qu'elle repose essentiellement sur la parole...
©http://fr.wikipedia.org/wiki/Psychanalyse
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La critique selon laquelle la pensée de Jung est spiritualiste, voire mystique, a été émise dès les débuts de la psychologie analytique. Franck C. Ferrier y voit l'exploration d'une « troisième hypothèse », ni matérialiste ni spiritualiste, mais relevant du paradoxe épistémologique. Il considère le postulat de la psyché en sympathie avec le cosmos, comme la pierre de touche du système théorique jungien. Les références à la religion sont omniprésentes dans son œuvre, Jung s'aventurant souvent dans le domaine de la morale, de la théologie et même de la métaphysique, bien qu'il en refuse l'usage en psychologie.
En fait, Jung aborde souvent lui-même la question de la mystique, celle de Maître Eckhart en particulier, dont il dit qu'il est « le plus grand penseur de [son] époque ».
Dans l'ouvrage Jung et la mystique, Steve Melanson explique en effet que « c'est spécifiquement dans l'héritage d'Eckhart que Jung considère la possibilité d'un renouvellement de l'attitude religieuse en Occident ». Car, pour Jung, un tel vécu de l'expérience mystique permet à l'individu de trouver son sens intérieur et, ainsi, de développer une attitude religieuse propre à lui, une plus grande force d'âme et une autonomie spirituelle.
« Et de même s'est fortifié [pour Jung] l'idée que par l'addition d'un nombre suffisant de consciences ayant développé un tel sens propre, pourrait être évitées de nouvelles folies collectives modernes ».
Enfin, Jung s'est focalisé dès ses premiers travaux (avec sa thèse de psychiatrie) sur le paranormal.
Son concept de synchronicité est le point culminant de cet intérêt ésotérique, ce qui a contribué à le décrédibiliser au sein de la communauté des psychanalystes et des psychiatres.
©http://fr.wikipedia.org/wiki/Carl_Gustav_Jung
MOI– Intérêts de la totalité de la personne
ÇA– Intérêts pulsionnels
SURMOI– Intérêts extérieurs
IDÉAL DU MOI – Intérêts narcissiques
DÉFINITION DU MOT MOI (CONCEPT DU MOI)
Instance identifiée par Freud dans le cadre de sa seconde théorie de l’appareil psychique
Caractérisé par l'emploi du Je, le Moi, concept essentiel de la psychanalyse est, avec le ça et le surmoi, l'un des trois éléments qui constituent la personnalité.
Il se construit à partir des sensations éprouvées, des expériences vécues et de séries d'identifications.
Il est à la fois le lieu de l'identité personnelle, du contrôle du comportement, du rapport aux autres et de la confrontation entre la réalité extérieure, les normes morales et sociales et les désirs inconscients.
© http://www.psychologies.com/Dico-Psycho/Moi-concept-du
Ne pas confondre psychanalyse et psychopathologie :
elles sont étrangères et antinomiques fondamentalement, car la psychanalyse considère l’être humain dans sa globalité, comme un sujet désirant et singulier.
La psychanalyse n’est pas une psychopathologie, mais une pratique subjective de libération, de transformation et d’expression de soi...
Mais qu'apprend-on de plus sur Freud ?
Une chose que beaucoup ont cachée ou n'ont pas voulu voir:
Freud était beaucoup plus névrosé que ce qu'il a laissé paraître.
Ses comportements variaient de l'admirable, en particulier lors de sa maladie, à l'odieux, avec ses disciples par exemple.
©http://www.lexpress.fr/informations/la-psychanalyse-a-change-le-monde_636862.html
C'est sur la suggestion de Carl Gustav Jung en 1912, alors président de l'Association psychanalytique internationale, que Sigmund Freud décida que tout psychanalyste devait avoir au préalable fait l'expérience d'une psychanalyse personnelle.
Ce critère fut désormais admis comme la condition nécessaire à toute formation du psychanalyste.
En 1926, dans un texte qui porte ce titre, Freud affirme la possibilité de la "psychanalyse profane", c'est-à-dire de la psychanalyse exercée par les non-médecins, afin d'apporter sa contribution, en tant que fondateur, à un débat houleux qui agite alors l' A.P.I. concernant la formation du psychanalyste.
Toutefois, cette possibilité ne fut pas reconnue dans tous les pays, notamment aux États-Unis.
De nombreux Instituts de formations furent créés un peu partout dans le monde, chacun avec son propre cursus et ses propres exigences.
©http://fr.wikipedia.org/wiki/Formation_du_psychanalyste
Si pour Sigmund Freud, fondateur de la psychanalyse, l'inconscient se caractérise avant tout par le fait qu'il naît du refoulement des pulsions, pour Jung, au contraire, l'inconscient est constitué de tout ce qui n'est pas conscient. Selon ce dernier : « Il est inhérent à la réalité et la communication du conscient et de l'inconscient [et] permet le devenir de l'individu. »
L'inconscient collectif et le conscient forment par conséquent, dans cette vision, un « ensemble [qui] constitue la totalité psychique dont nul élément ne peut disparaître sans dommage pour l'individu » Il aurait par ailleurs une fonction vitale pour l'homme, notamment exerçant une activité compensatrice au Moi. Il serait enfin la source du renouveau de l'être, par la compréhension des rêves et le travail de l'individuation.
Pour Jung, reconnaître l'existence et l'influence de l'inconscient collectif, c'est reconnaître que « nous ne sommes pas d'aujourd'hui ni d'hier ; nous sommes d'un âge immense. »
© https://fr.wikipedia.org/wiki/Inconscient_collectif
Une séance dure généralement de 30 minutes à 1 heure
Le coût varie de 55 à 150 euros selon les spécialistes et le cas traité, mais la Sécurité Sociale ne les rembourse pas ;
Au long des séances, le psychanalyste dénoue les troubles du comportement ou les troubles de la personnalité. Chacun a sa méthode d'approche du patient : soit, ils posent beaucoup de questions, soit ils interviennent très peu, laissant libre cours au discours du patient ;
Le patient est allongé sur un divan et le spécialiste est placé en retrait. Mais, ce n'est pas une obligation et l'on peut se retrouver assis en face à face à un bureau ou dans des fauteuils
La cure psychanalytique peut durer de plusieurs mois à plusieurs années.
LE MYTHE D'OEDIPE
Le mythe d'Œdipe est une notion utilisée par Sigmund Freud, père de la psychanalyse, pour théoriser le désir inconscient d'un enfant à avoir un rapport sexuel avec son père ou sa mère et à éliminer le rival du même sexe (notions d'inceste et de parricide).
©wikipedia
En majorité, on pense que la psychanalyse se limite au dogme freudien et à ses prédécesseurs.
Ceci est dû au fait qu'en France, le courant freudien a dominé tous les autres mouvements, laissant l'impression d'être le seul et unique courant psychanalytique digne de ce nom.
Or, la vérité s'écarte de loin de cette rumeur.
Au début de la psychanalyse, Freud forma autour de lui un groupuscule de futurs psychanalystes. Parmi eux figurent un certain Adler et un certain Jung.
Après plusieurs conflits d'ordre idéologique, Adler décida de former son propre courant, basé sur l'influence de la volonté de pouvoir. Freud, quant à lui, resta sur l'idée que se sont les pulsions sexuelles qui dominent la psyché.
De là découle le premier conflit psychanalytique : le courant adlerien contre le courant freudien.
L'influence et l'ampleur de Freud dans le domaine des sciences amenèrent ce dernier à totalement écrasé Adler au niveau de sa réputation.
On connaît à ce jour les complexes d'infériorité et de supériorité, qui sont nés des études de Adler.
Un autre dissident, Jung, forma aussi sa propre école psychanalytique. La dissidence a lieu, suite, encore une fois, à un conflit idéologique sur la définition de la libido. De là naît le courant jungien.
©http://www.over-blog.com/Les_differents_courants_psychanalytiques-1095203942-art398880.html
LES MECANISMES DE DEFENSE
Notre résilience, notre capacité à faire face aux tensions, aux conflits, aux dangers perçus à l’intérieur de nous ou dans le monde extérieur, mobilise 2 types d’opérations mentales, les mécanismes de défense et les processus de coping.
Les mécanismes de défense sont des processus mentaux automatiques, qui s’activent en dehors du contrôle de la volonté et dont l’action demeure inconsciente, le sujet pouvant au mieux percevoir le résultat de leurs interventions et s’en étonner éventuellement.
Au contraire, les processus de coping, mot traduit en français par stratégies d’adaptation ou processus de maîtrise, sont des opérations mentales volontaires par lesquelles le sujet choisi délibérément une réponse à un problème interne et/ou externe.
Les mécanismes de défense ont été découverts par la psychanalyse et occupent une place importante dans les théories et les thérapies psychanalytiques. Les processus de coping ont été étudiés par les méthodes de la psychologie scientifique et font actuellement l’objet principalement de l’intérêt des psychologues de la santé et des thérapeutes cognitivo-comportementalistes qui leur accordent une place importante dans leurs théories et leurs thérapies. Le peu de communication ou les conflits entre les approches psychanalytique et cognitive-comportementale ont conduit à des réflexions et à des études parallèles de la défense et du coping. Très peu de publications abordent l’étude des relations entre défense et coping.
La neuropsychanalyse est la discipline qui cherche à faire dialoguer les conceptions de la psychanalyse, de la neuropsychologie, des sciences cognitives. Plutôt qu'un discipline à proprement parler, il s'agit plutôt, cependant, d'un courant actuel. ©http://dictionnaire.sensagent.com/neuropsychanalyse/fr-fr/
Contemporainement et après Sigmund Freud, la psychanalyse a pris plusieurs directions différentes par l'intermédiaire de théoriciens, donnant lieu à l'apparition de plusieurs associations, mouvements et écoles de psychanalyse.
La première association a été la Société psychanalytique de Vienne (W.P.V.)
Les premières ruptures de l'histoire de la psychanalyse ont souvent conduit à des pratiques éloignées de ce qui est maintenant communément appelé psychanalyse.
Carl Gustav Jung a fondé la psychologie analytique.
Alfred Adler a fondé une psychologie individuelle.
Wilhelm Reich a entre autres inspiré la bioénergie.
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©wikipedia
La psychanalyse est, selon la définition classique qu'en a donnée Sigmund Freud :
- un procédé d'investigation des processus psychiques, qui autrement sont à peine accessibles ;
- une méthode de traitement des troubles névrotiques ou psychotiques, qui se fonde sur cette investigation, également nommée la cure psychanalytique ;
- une série de conceptions ayant trait au psychisme, acquises par ces moyens et qui fusionnent progressivement en une discipline scientifique nouvelle.
La psychanalyse consiste en l'explication de certains actes ou pensées en termes psychiques à partir de l'affirmation de l'existence du déterminisme psychique : une idée qui se présente à l'esprit ou un acte ne sont pas arbitraires, ils ont un antécédent, un sens, une cause que l'exploration de l'inconscient permet de mettre au jour.
Certaines actions sont perçues comme « involontaires », « incohérentes » ou « absurdes » et ne sont pourtant pas dues au hasard : ce sont par exemple les rêves, les lapsus, les actes manqués, ou les symptômes sans cause physique (par exemple l'hystérie).
Ainsi, des actes ou des paroles qui s'apparentent à des erreurs peuvent être compris comme étant des « actes réussis », déterminés, et sont un moyen pour la psychanalyse d’y repérer une expression de l’inconscient : ils peuvent, par exemple, être l'expression d’un compromis dans un conflit psychique sous-jacent (entre pulsions contradictoires) ou représenter la satisfaction d'un désir.
Bien que ces processus restent essentiellement inconscients, la psychanalyse dispose d'un protocole et d’un ensemble de conceptions qui permettent de comprendre ces logiques inconscientes et d'aider éventuellement le sujet qui en souffre à résoudre ses problèmes.
La psychanalyse fait l'objet, depuis l'origine, de critiques et de discussions à la fois internes au mouvement psychanalytique et extérieures à ce mouvement, concernant son caractère scientifique, la pertinence de sa description du psychisme, et son efficacité thérapeutique.
©https://fr.wikipedia.org/wiki/Psychanalyse
La psychopathologie (des mots grecs : psukhê, « âme » et pathos, maladie) est l'étude des troubles psychiques par la psychologie, la psychiatrie ou la psychanalyse.
Elle ne doit pas être confondu avec le terme de psychopathie, un sous-type du trouble de la personnalité antisociale...
© wikipedia
La psychopathologie correspond à l'étude des maladies mentales et de leurs causes.
Véritable spécialité de la psychologie, la psychopathologie a pour objet la compréhension et l'explication des troubles mentaux.
Il s'agit d'une psychologie du pathologique aussi bien que de l'étude de la pathologie du psychologique.
Cette terminologie est généralement employée dans l'univers de la psychiatrie ou de la psychologie clinique.
Cette discipline est d'ailleurs enseignée dans le cadre universitaire ou hospitalier.
©http://sante-medecine.journaldesfemmes.com/faq/22370-psychopathologie-definition
La psychothérapie psychanalytique ou psychanalyse, utilise des théories inventées par Sigmund Freud puis développées et approfondies par de nombreux psychanalystes dans le monde au cours du XXe siècle.
Elle vise à mettre au jour, dans le cadre d'une relation dite de transfert les causes et mécanismes inconscients d'une souffrance psychique qui peut se traduire par des conduites symptomatiques : hystérie, phobie, dépression, etc.
©https://fr.wikipedia.org/wiki/Psychothérapie_psychanalytique
TOTALITÉ FORMÉE DU CONSCIENT ET DE L'INCONSCIENT
En psychologie, le pronom personnel « SOI » renvoie à une structure associant les informations que l'individu peut recueillir sur lui-même et la manière dont il se comporte en fonction de ces informations.
Pour le psychanalyste Jung, en revanche, le SOI est le lieu virtuel où s'unifient le conscient et l' inconscient, permettant ainsi la réalisation de la personnalité psychique authentique.
©http://www.psychologies.com/Dico-Psycho/Soi
TEXTES EXTRAITS
Le diplôme d'État de docteur en médecine est un diplôme français sanctionnant la fin des études de médecine et la soutenance de la thèse d'exercice.
Ce diplôme est complété par un diplôme d'études spécialisées (DES) mentionnant la spécialité exercée par son bénéficiaire, y compris la médecine générale.
La thèse de DES vaut le plus souvent thèse d'exercice.
Elle ne consiste pas en une thèse de recherche, qui caractérise un travail universitaire original de recherche mené dans une structure habilitée, le plus souvent un laboratoire de recherche.
Certaines universités encouragent ou rendent obligatoire la présentation de cette thèse sous forme d'article biomédical devant être soumis à un journal[réf.
Ce qui était autrefois une revue de la littérature ou une étude rétrospective de cas de patients est amené à devenir de plus en plus une question médicale ou biomédicale amenant l'usage d'une méthodologie précise en vue d'obtenir des résultats.
Le transfert est un concept de psychanalyse vu dans un premier temps comme un simple déplacement d'affects d'une personne à l'autre.
Il a d'abord été repéré par Freud dans les premières cures, notamment celle effectuée par Josef Breuer. Sandor Ferenczi, Heinrich Racker et, en France, Michel Neyraut l'ont théorisé de manière beaucoup plus précise.
C'est à partir de sa mise en évidence, des problèmes qu'il a posés dans le déroulement de la cure et des théorisations qui en ont découlé, que la psychanalyse s'est distinguée des autres formes de psychothérapies.
© https://fr.wikipedia.org/wiki/Transfert_(psychanalyse)
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